1. Mila


    Datte: 19/12/2019, Catégories: Lesbienne Partouze / Groupe Mature, Auteur: feuillevierge, Source: xHamster

    ... jours je découvris le travail à faire laver, repasser, cuisiner, tenir la maison. La porte donnant sur la rue était toujours verrouillée, le jardin du côté opposé n’avait pas de vis-à-vis et était clos par de grands murs, mes patrons n’utilisaient que des téléphones portables. J’étais en vase clos sans contact extérieur possible. Le soir je descendais dormir et la porte de mon coin lit était verrouillée. Le matin la patronne m’ouvrait, je faisais une toilette à l’évier de la buanderie du sous-sol. Puis je m’habillais. Je n’avais pas de sous-vêtements. Ensuite je montais travailler toute la journée sans pause. Je mangeais en faisant la cuisine.
    
    Régulièrement plusieurs fois par jour la vieille s’approchait de moi et me touchait. Les seins en passant sous le tee-shirt, les fesses en levant ma jupe, mon sexe en me caressant les lèvres et le clito. Je voyais à son regard que cela l’excitait. Des fois elle me mettait ses doigts, humides de mon sexe, dans la bouche en me disant dans ma langue « suce petite, tu vas aimer ». Je restai docile car je n’avais pas le choix. Son homme lui ne m’approchais pas.
    
    Le soir ils étaient au salon et moi je devais rester à la cuisine à portée de voix. De temps en temps elle ...
    ... criait « Mila vient » et je devais accourir pour satisfaire leurs désirs. Ce qu’elle aimait souvent c’était que je quitte mon tee-shirt en gardant la jupe et que je me mette assise sur la table cuisses écartées face à eux. Ils continuaient de parler. Puis la femme, dans un fauteuil, quittait sa culotte et me disait « viens sucer petite ». Je devais arriver à quatre pattes et lui bouffer longuement la chatte en la pénétrant bien avec ma langue. Elle faisait durer et ne laissait jamais paraître la moindre excitation. L’homme lui regardait sans rien dire ou faire. Des fois, en silence, il sortait son pénis flasque. Le patronne me disait « va le sucer et fait le bander ». Je lui suçais le gland avec mes lèvres assez vite mais il ne bandait jamais. Il se contentait de me dire « regarde-moi dans les yeux quand tu suces ».
    
    Au bout de quelques mois, un jour où ils étaient sortis, j’ai mis le feu à la maison et me réfugiant au fond du jardin. Les pompiers m’ont trouvée. La police m’a interrogée et confiée à une association de réinsertion. Le procureur a poursuivi les vieux qui ont été condamnés à de la prison ferme. J’espère ne jamais les croiser. Peut-être qu’en prison c’est eux qui doivent sucer d’autres sexes. 
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