1. Mila


    Datte: 19/12/2019, Catégories: Lesbienne Partouze / Groupe Mature, Auteur: feuillevierge, Source: xHamster

    Je suis une jeune fille bulgare originaire de la campagne. Chez moi il n’y avait pas de travail et quand j’ai été majeure ma famille m’a dit de partir gagner de l’argent en ville. Là j’ai travaillé un peu comme femme de ménage. Un jour une copine m’a dit qu’elle partait à l’étranger avec un homme qui fournissait du travail là-bas. Je lui ai dit « je peux y aller avec toi ». C’est comme ça qu’on a voyagé vers une grande capitale avec un homme qui organisait tout. Comme je ne pouvais pas payer les frais il m’a fait signer des papiers puis il m’a baisé brutalement dans sa voiture plusieurs fois pendant le voyage. Je n’avais pas d’expérience. Je n’ai pas eu de plaisir contrairement à ma copine qui jouissait chaque fois devant moi en me regardant pendant qu’il la défonçait.
    
    Arrivé nous avons été logé dans un squat dégoûtant où s’entassait dans une grande promiscuité des gens venus principalement de pays de l’est. L’homme avait gardé mes papiers et on n’avait rien à manger. Un soir il me dit tu vas gagner sur le trottoir de quoi vivre ici. Et il me plaça sur un grand boulevard en m’expliquant les règles. « Quand un homme te veut tu dis le prix, tu montes dans sa voiture, tu lui montres où se garer dans le noir sous les arbres, tu le fais payer, tu caches l’argent dans ta chaussure, tu fais tout ce qu’il veut ». Il m’expliqua qu’on serait toujours deux filles sur le même endroit pour qu’on se surveille. « Si la police t’arrête tu ne dis rien et tu reviens au squat quand elle te ...
    ... libère ». Je devais rembourser le voyage pour qu’il me rende mon passeport. Pendant un an j’ai baisé au moins dix fois chaque nuit. Les clients étaient parfois vicieux, aimant me faire mal pour arriver à jouir. Quand je me révoltais ou ne gagnais pas assez le mac me battait en me laissant comme une loque sur mon matelas.
    
    Au bout d’un an j’ai réussi à trouver mon passeport dans la cachette que le mac utilisait et je me suis enfuie sans savoir où aller. Je savais seulement qu’il fallait m’éloigner vite pour ne pas être retrouvée. J’ai dormi sous des ponts, dans des chantiers. Après quelques semaines dans la rue où je faisais la manche j’ai rencontré une femme qui m’a parlé dans ma langue. Elle m’a emmené chez elle, m’a fait prendre un bain, m’a donné une jupe en toile et un tee-shirt, m’a fait manger. Le soir j’ai pu dormir dans un cagibi au sous-sol sur un matelas posé au sol. J’ai vu que la nuit on fermait la porte à clé.
    
    Le lendemain la femme assez âgée me fit venir dans un bureau où se tenait aussi un homme assez gros du même âge. Elle me dit « tu me plais, tu peux rester ici quelques temps, je garde ton passeport dans mon coffre pour qu’il ne s’égare pas, tu feras le travail dans la maison, et tu nous feras plaisir à mon mari et à moi quand on te le demandera. Tu seras nourrie, habillée, logée, tu peux aller au jardin mais tu n’as pas le droit de sortir dans la rue. » Es-tu d’accord ? Sans savoir ce qui m’attendait, je répondis «oui merci madame ».
    
    Les premiers ...
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