1. Lendemain de noces


    Datte: 19/12/2019, Catégories: fhh, extracon, alliance, fête, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, entreseins, double, Auteur: Amenophis, Source: Revebebe

    ... a cassé le talon de sa chaussure ! Je l’emmène à la maison pour réparer. On n’en a pas pour longtemps ! Et, Jean-Luc vient avec moi !
    
    Rodolphe, en grande conversation avec ses copains, nota à peine ce que lui disait son père. Ils partirent donc sans avoir vraiment attiré l’attention. Mais, l’absence se prolongea et bientôt, je vis ma tante Françoise qui, allait de groupe en groupe en demandant si quelqu’un avait vu son mari. Prévoyant la catastrophe j’allai vite retrouver Marjorie.
    
    — Ta belle-mère cherche partout son mari ! Or ta mère a trouvé un prétexte pour emballer les jumeaux. J’ai peur du scandale, si tu vois ce que je veux dire !
    — Oh ! La garce ! Ils sont où ?
    — Ben, ils sont partis chez les parents de Rodolphe je pense !
    — Denise tu as une voiture ? Tu sais où c’est ? Emmène-moi, on y va !
    
    On a fait la route à tombeau ouvert. Notre chance a été que mon oncle a voulu réparer la chaussure à tout prix AVANT. Mais quand nous sommes arrivés, Marianne était en train de payer la réparation en nature. Ils étaient dans la chambre de jeune homme de Rodolphe. Ils devaient être pressés et croyaient bien ne pas être dérangés car la porte était restée ouverte. Les tontons étaient à poils. L’un d’eux (lequel ? Je ne sais pas) était allongé au bout du lit avec les jambes qui pendaient en dehors, et Marianne, nue également, s’était placée entre ses jambes, et maintenait la verge toute bandée entre ses seins qu’elle pressait et faisait monter et descendre le long de la ...
    ... tige dans une superbe cravate de notaire. Mon oncle était aussi bien pourvu que son fils, (ou que son neveu, allez savoir !) parce qu’elle était assez longue pour que sa partenaire puisse en même temps lui lécher le gland d’une langue experte. L’autre tonton la prenait en levrette à grands coups de queue. Mon premier mouvement fut de retenir Marjorie pour que mon tonton Jean-Claude puisse aller au bout. Soit entre les nichons de la belle-mère soit dans sa… son… Je ne pouvais pas voir si le tonton qui tenait l’arrière la baisait ou la sodomisait. En tout cas c’était le père de Rodolphe qui avait louché comme un malade sur cette magnifique paire de seins depuis le matin ! Enfin, pour qui que ce soit, ça devait être quelque chose de se faire masturber le sexe dans le sillon séparant ces deux superbes globes tout de douceur et de velouté. Mais Marjorie avait trop peur que Françoise découvre le tableau :
    
    — M’man ! Je t’avais demandé de rester tranquille !
    
    Sur cette injonction Marianne tourna la tête, abandonnant le gland de mon tonton. Mais lui devait être super excité, car il ne put se retenir de décharger. Décidément c’était le week-end des giclées perdues. Il devait être en manque depuis longtemps le tonton en question, parce qu’il a éjaculé fort et longtemps. Les deux premières décharges se perdirent dans les cheveux de Marianne. Le temps qu’elle constate que c’était sa fille qui était là, et, magnifique de sang-froid, elle reprit la bite juteuse entre ses lèvres et ...
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