Lendemain de noces
Datte: 19/12/2019,
Catégories:
fhh,
extracon,
alliance,
fête,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
entreseins,
double,
Auteur: Amenophis, Source: Revebebe
A la suite de sa confession, Valérie, la bonne de Denise, avait quitté l’appartement pour profiter de sa journée de congé. Vincent avait voulu rejoindre le domicile d’Elizabeth. De nouveau en tête-à-tête, Didier avait alors sollicité Denise pour qu’elle continue à lui relater les événements consécutifs au mariage de son cousin Rodolphe.
« Le personnage qui domina la journée du samedi fut sans conteste Marianne, la mère de Marjorie. Obnubilée par mon cousin et taraudée par l’envie que j’avais de pouvoir accomplir mon « vœu », j’avais carrément négligé les autres participants à la noce. Beaucoup ne méritaient rien de mieux d’ailleurs, mais Marianne était un cas à part. C’est vrai que la veille, elle s’était faite un peu discrète. Sans doute à la demande de sa fille… Ou plutôt de son gendre. Car sur le plan familial, le mariage de Rodolphe et Marjorie c’était un peu l’alliance de la carpe et du lapin. Côté du marié c’était très coincé, alors que côté de la mariée, c’était la liberté des mœurs. Bien que ne connaissant pas sa belle-mère, qui vivait moitié en Suisse, moitié à Nice et qu’il n’avait rencontrée que la veille du mariage, il savait par Marjorie qu’elle avait une totale liberté sur le plan sexuel. Riche et déjà deux fois veuve, elle consommait les hommes avec gourmandise et sans modération. Craignant le clash, surtout avec sa mère, mon cousin avait chapitré sa future épouse qui avait elle-même fait la leçon à la sienne. Marianne s’était donc tenue très sagement ...
... durant les cérémonies et le repas. Elle était accompagnée d’un jeune homme d’une vingtaine d’années. Ce qui avait quand même choqué la mère de Rodolphe, qui n’en avait rien dit, mais qui affectait un air on ne peut plus pincé. Quant au père de mon cousin, il avait souri d’un air complice, sans non plus faire de commentaire. Le gigolo, lui, il était aux petits soins pour sa compagne. Mais je ne les vis jamais dans une attitude déplacée ou même équivoque.
Marianne avait 45 ans. Elle était superbe. Mince, bien pourvue en seins, haut plantés et fermes, les hanches rondes sans excès, brune aux yeux bleus. Bref quadra, mais plus que mettable par n’importe qui. Et avec ça, une morale on ne peut plus élastique ! La totale pour déclencher un truc tout à fait explosif ! La veille, elle avait mis un chapeau, style belle-mère à la noce, une robe assez stricte, et s’était très bien tenue. Le contrat avec sa fille étant respecté, le samedi elle se considérait libre. Et Marianne libre….
Déjà la tenue avait changé. Elle portait une robe légère, très ample qui arrivait au-dessous des genoux, mais décolletée au maximum, tant en profondeur qu’en largeur. Question de ça, sa poitrine était bronzée. Elle se tenait très bien sans soutif, et faisait loucher tous les hommes présents, d’une famille comme de l’autre. En plus, lorsqu’elle se penchait un peu en avant (et elle trouvait souvent un prétexte pour le faire) de côté on voyait son sein entièrement nu, mamelon et téton compris. Tous les regards ...