Première recrue
Datte: 19/12/2019,
Catégories:
fh,
hsoumis,
fdomine,
Auteur: La Lady, Source: Revebebe
Bonjour ; on m’appelle « La Lady ».
Certains prétendent que je suis une dominatrice professionnelle, ce qui est faux, même s’il m’arrive parfois de me faire payer pour les séances que je donne dans mes donjons de Paris ou Bordeaux. Et si vous ajoutez à cela que j’ai un site sur Internet, alors bien sûr, tous les ragots sont permis. La réalité, c’est que je n’ai nullement besoin d’argent. Mais l’argent, c’est le pouvoir, du moins une certaine forme de pouvoir. Et oui, il s’agit d’un moyen que j’utilise parfois pour soumettre certains de mes captifs un peu rétifs aux techniques de dressage habituelles.
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé exercer mon pouvoir sur les hommes. Écolière déjà, je trouvais toujours des larbins pour porter mes affaires, faire à ma place les punitions écrites ou m’apporter des extras à l’heure du goûter.
Je ne me posais pas de questions ; tout cela était pour moi complètement naturel. Plus les années ont passé et plus ce pouvoir s’est renforcé.
Il faut dire que je suis ce que les hommes appellent « une très belle femme ». Je mesure un mètre soixante-dix, je suis blonde avec des yeux bleus perçants, et mon corps a été sculpté par de longues années de natation. Je possède en outre une force physique et une connaissance des arts martiaux capables d’imposer le respect aux imbéciles imaginant qu’ils appartiennent au sexe fort.
Être dominatrice ne signifie pas que l’on est incapable d’aimer. J’ai aimé des hommes, passionnément. ...
... Mais tous ont toujours dû accepter mes règles. À la mort de mon mari dans un stupide accident de voiture, j’avais 45 ans. Ayant toujours eu l’habitude d’être servie, je me suis retrouvée seule et sans autres ressources que celles dont m’avait dotée la Nature.
Certes, il m’avait laissé une petite fortune, mais je n’étais pas prête à abandonner mon train de vie ni à rejoindre la cohorte des quémandeurs de Pôle Emploi. J’ai donc décidé de me constituer un cheptel d’esclaves dévoués qui désormais me permettrait de vivre comme je l’entendais.
Certaines bonnes âmes trouvent cela immoral. Mais est-ce plus immoral que ce que font les politiciens qui promettent la lune à tout le monde et ne donnent rien à ceux qui leur font confiance ? Moi au moins, je permets à mes sujets de vivre heureux en rampant à mes pieds. Et j’estime qu’il est normal que l’on me remercie pour cela.
À cette époque donc, l’argent n’était pas encore un vrai problème. Mais j’avais besoin de trouver d’urgence un serviteur pour tenir propre ma propriété, s’occuper de mes affaires, et conduire ma voiture. Un travail lourd, qui excluait bien entendu les 35 heures et toute forme de respect du Code du travail. D’ailleurs, je n’avais nullement l’intention de payer pour cela.
Je créai donc un site sur Internet et proposai de faire signer un contrat d’appartenance totale à un soumis motivé.
Je reçus bien vite des dizaines de réponses qui, pour la plupart, émanaient de "fantasmeurs". Je les écartai. D’autres ...