Fraîchement majeure...
Datte: 22/03/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
odeurs,
Masturbation
Oral
pénétratio,
totalsexe,
Auteur: CamilleSaintSens, Source: Revebebe
... délicieux.
— Non ! On va au cinéma et on ira boire un verre ensuite.
À vrai dire, peu m’importait sa soirée. C’était au lendemain que je pensais.
— Donc les parents sont partis en vacances, c’est cela ?
— Oui. Comment le savez-vous ?
— Je vous ai entendu dans le couloir. J’ai vu leurs valises.
— Ah. Oui. Ils sont au ski.
Le ski, c’est une semaine en général. Mes prévisions étaient justes.
— Donc, tu as une semaine pour faire la fête chez toi et ramener des garçons, c’est cela ?
Elle me sourit encore. Je bandai.
— Je peux pas trop quand même. Y’a mon petit frère.
— D’accord. Si tu as envie que nous fassions connaissance, toi et moi, je t’invite demain. Sonne chez moi à 14 h. Je serais ravi de t’offrir à boire.
Encore et toujours, son sourire avec, cette fois-ci, un soupçon de rouge aux joues mais pas le classique rouge de honte ou de timidité. Non. Un rouge que je connaissais bien pour l’avoir vu, quelques jours auparavant sur les joues de la femme que j’étais en train de sauter. Je ne fis pas long feu à ma soirée. J’avais la tête ailleurs. Il me tardait d’être à 14 h, le lendemain. La matinée fut consacrée au rangement pour accueillir comme il se doit ma voisine, si l’envie lui en prenait de venir chez moi.
À 13 h 57 sur mon portable, l’on toqua à ma porte. Le judas me montra ma voisine toujours en jupe, belle comme le jour. Elle venait se faire baiser, je le sus, je le vis, je le sentis. Elle avait 18 ans, elle était fraîche et souriante. Oh ...
... que j’avais envie de m’amuser avec elle.
Vous ne me croirez pas, mais mon cœur battait comme lors d’un rendez-vous amoureux alors que j’ouvris la porte. Ce n’était pas de l’amour qui m’animait mais la délicieuse sensation d’avoir découvert mon graal érotique, de faire une nouvelle rencontre qui allait compter pour moi.
Ses cheveux bruns étaient tirés en une natte, sa jupe était écossaise, à carreaux et ses bottes étaient plus des chaussures montantes à lacets que de réelles bottes. Son parfum discret accompagna cette vision. Nous échangeâmes un regard qui acheva de me conforter quand au déroulement de cet après-midi. Il y avait en outre sur son visage un soupçon d’hésitation, comme si elle ne réalisait pas tout à fait qu’elle venait de sonner à la porte d’un homme avec des idées précises en tête.
— Bonjour mademoiselle. Je ne connais même pas ton prénom.
— Bonjour. C’est Laure.
— Enchanté Laure. Moi, c’est Jean. Mais je t’en prie, entre chez moi.
Je fis un pas sur le côté pour la laisser entrer et regarder ses fesses. On ne voyait pas de trace de ses dessous mais je devinais bien sa croupe, presque naturellement cambrée.
Après une brève visite – mon appartement n’était pas encore vidé de ses cartons – nous primes place dans le canapé. Je lui offris un verre. Elle prit un jus de fruit.
— Alors tes parents sont au ski et tu rends visite à ton voisin ?
— Oui.
Elle ne pouvait s’empêcher de sourire. Un fruit déjà mûr qui ne demande qu’à être cueilli. Mais je ...