Fraîchement majeure...
Datte: 22/03/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
odeurs,
Masturbation
Oral
pénétratio,
totalsexe,
Auteur: CamilleSaintSens, Source: Revebebe
... lycéenne. J’ai raté mon bac.
— Tu as 19 ans ?
— Non, 18.
— 18 ans, l’âge pour aller dans les sex-shops, dis-je en prenant un risque.
Soit elle trouvait cela drôle, soit je passai pour un obsédé, un pervers mais dans le mauvais sens des termes. Son sourire s’épanouit. Elle ne fut pas choquée. Un premier pas dans la bonne direction.
— Excusez-moi mademoiselle. Je suis incorrigible. Je ne veux pas vous choquer.
— Vous me choquez pas. C’est marrant.
— Eh bien, je suis ravi de te faire rire. C’est toujours plaisant de faire rire une jolie jeune femme qui porte un string noir et bleu.
Là encore, je m’avançai mais j’étais trop excité pour ne pas prendre ce risque.
— Comment vous savez ? me demanda-t-elle, souriante et cramoisie.
— Intuition féminine, fis-je avec un sourire mystérieux.
L’ascenseur atteignit le rez-de-chaussée. Elle en sortit. Je descendis à la cave.
De retour chez moi, une autre masturbation. Dieu qu’elle m’excitait, cette lycéenne !
Je fus ensuite deux semaines sans la voir. Je bossais beaucoup et je rentrais tard le soir. Lentement, le souvenir de la rapide excitation qu’elle avait déclenchée en moi s’estompait. Chaque fois que j’étais sur le palier, je regardai la porte de son appartement et je pensai à tout ce qu’une jeune femme comme elle promettait de jeux et de délices. Je finis par me résigner. Ce n’était pas encore l’heure pour moi d’accomplir ce fantasme de l’éducation sexuelle d’une jeune femme.
J’avais de nombreuses ...
... aventures. Des femmes mariées voulant pimenter leurs ébats, des étudiantes de vingt ans et plus désireuses de s’envoyer en l’air, des expertes du sexe qui pratiquaient avec constance et bonne humeur. J’avais à ma disposition un large choix de femmes pour pratiquer toutes les choses que j’aimais mais la lycéenne, la jeune femme à peine majeure… Délice des délices. À chaque fois que je pensai à la vue de son petit cul penchée m’offrant son string, j’en venais à fermer les yeux pour imaginer la suite.
Ainsi, ma surprise fut grande quand, un samedi matin, alors que je remontai des poubelles, je vis dans le couloir les parents de ma voisine, bardés de valises et de sacs de voyages, dire au revoir à leur fille.
— Et surtout, n’oublie pas les plantes, hein ? Celle du salon a besoin de beaucoup d’eau. De toute façon, on t’appelle quand on est arrivés.
Il ne m’en fallut pas plus. Le feu prenait déjà. S’ils parlaient d’arroser les plantes, c’est qu’ils partaient plus qu’un week-end. Une semaine, au bas mot. J’avais donc un créneau d’une semaine pour arriver à mes fins. Les dieux furent avec moi car, le soir même du départ des parents, je croisai Laure – même si je ne savais pas encore qu’elle s’appelait ainsi – devant l’ascenseur. Nous sortions tous les deux. Elle avait un jean et des bottes simples.
— Alors, samedi soir avec les amis ? fis-je après les salutations.
— Oui. Avec deux copines.
— Et vous allez terminer complètement saoules à courir nues dans la rue ?
Son sourire ...