1. Le stage de remise à niveau


    Datte: 18/12/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Jademik, Source: Hds

    ... que cela ne se fasse pas, je décidai de jeter un œil par le trou de la serrure. Le champ de vision restreint ne me permit d’apercevoir qu’un ou deux mecs à poil, a priori de dos, et une lumière qui éclairait devant eux sans autre précision. En dressant l’oreille, je pus également identifier une suite de râles étouffés mais il me fallait mieux voir pour comprendre ce qui se passait. Je filai donc rapidement au local technique et en ramenai un tabouret haut. Je le déposai délicatement et y grimpai le plus doucement possible. Et là je vis ce que j’étais à cent lieues d’imaginer : un cercle formé de sept ou huit mecs debout et sans slip avec au centre, toute éclairée, Inès, agenouillée et seins nus, enchaîner fellations et branlettes à bon train ! La séance avait dû commencer depuis un bon moment puisqu’on pouvait voir distinctement des traînées blanchâtres un peu partout sur elle, jusque dans ses longs cheveux défaits. Et ça continuait, la petite délurée s’appliquant à recueillir dans sa bouche chaque éjaculation de ces messieurs, exactement comme dans un film porno. Il semble d’ailleurs que plusieurs d’entre eux filmaient la scène avec leur téléphone portable. J’avoue que je ne savais pas vraiment quoi faire, la surprise mêlée à l’émotion de voir une de mes élèves se taper toutes ces belles queues me faisant contempler le spectacle pendant un long moment. Pour ne pas me faire repérer, je décidai néanmoins de redescendre et de retourner dans ma chambre. J’eus évidemment ...
    ... beaucoup de mal à m’endormir à la suite, fantasmant à plein sur le sujet.
    
    Le lendemain matin, vu l’état de fatigue ambiant, rien ne se passa dans le groupe. Ce n’est qu’en début d’après-midi, juste avant la baignade dans le lac, que les choses se gâtèrent. La répartition de l’emploi du temps entre les différents groupes faisaient que dans la tranche 13h30-14h30, nous étions absolument seuls dans le bâtiment de cours. À peine avais-je commencé que les jeunes sortirent leurs portables et se mirent à sortir des commentaires du genre : « t’as vu, elle a l’air d’y prendre goût » ou « elle en perd pas une miette, la vicieuse ! ». Inès leur faisait écho, ce que je trouvai insensé et révoltant. Prenant mon courage à deux mains et en jouant l’étonnée, je décrétai un break de dix minutes le temps qu’on me montre de quoi il s’agissait. Me tendant son portable, Théo, vraisemblablement un des cinéastes amateurs de la veille, me demanda ce que j’en pensais. On voyait en alternance des plans d’Inès dans ses œuvres buccales mais aussi d’une femme assistant à la scène derrière la vitre au-dessus de la porte. Une métisse à cheveux courts en débardeur fin se caressant machinalement les nichons et, ce que l’on devinait plus qu’on ne le voyait, quelque chose de situé beaucoup plus bas… Les petits salauds avaient réussi à me filmer dans l’obscurité sans que je m’en aperçoive ! Et l’on voyait clairement mon émotion.
    
    - Bon ! On fait quoi maintenant ?
    
    - Ben, vous savez tout mais nous aussi, répond ...