1. Pause pipi à Albertville


    Datte: 17/12/2019, Catégories: Oral uro, Auteur: Alexandre, Source: Revebebe

    ... folâtrer dans les poils de son sexe. Je la vois frémir sous la douce caresse. Elle n’a cependant, pas bougé d’un pouce, attentive à ce qui va suivre.
    
    Mes mains pressent l’intérieur de ses genoux pour lui intimer l’ordre de les écarter et me permettre un accès plus aisé à son intimité. Elle s’exécute sans rechigner et je peux voir bien plus aisément maintenant la raie de ses fesses, son petit trou mignon, un peu rose foncé, plissé comme celui d’une adolescente. Madame Besson doit être vierge de ce côté. Mais va savoir, avec une femme de cette expérience ! Ses grandes lèvres ont beaucoup de peine à cacher les petites plus carminées, du fait de son excitation. Elles sont magnifiquement ourlées et ressemblent à de petites crêtes. Madame Besson est magnifique, ainsi exposée, impudique et consentante, offerte à mon regard, offerte à mon plaisir.
    
    Je l’ai déjà dit, son sexe est pileux, mais cela ne me rebute pas, au contraire. Je peux à présent en admirer tous les détails, par exemple ce joli grain de beauté qui m’avait échappé jusqu’alors.
    
    J’approche ma main et flatte sa croupe ...
    ... comme on flatte une jument mais avec plus de tendresse, n’ayant pas une vocation de maquignon. Madame Besson ne bouge toujours pas, consentante et attentive à mes gestes. Ma main caresse ses fesses et s’aventure entre elles. Mes doigts se figent au milieu de sa raie, puis lentement la parcourent dans sa longueur, jusqu’au sillon sombre de la chatte où l’un d’eux s’insinue avec délicatesse, comme l’on écarte les pétales d’une fleur bleue délicate. Ce doigt inquisiteur est rapidement couvert d’un liquide poisseux et chaud qui suinte de son vagin et humecte d’abondance ses petites lèvres. Cette caresse plus précise arrache un long soupir à Madame Besson, un frémissement de l’échine, mais rien de nature à affoler la gent ornithologique du coin !
    
    Je porte le résultat de ma collecte à mes narines. La mouille de Liliane Besson a une odeur puissante mais agréable, une évidente invitation à la copulation, son sexe est prêt à recevoir le mien. Ma bite se trouve actuellement dans le même pourcentage d’humidité que sa chatte, je pense que nous allons rapidement trouver un accord.
    
    À suivre 
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