1. Pause pipi à Albertville


    Datte: 17/12/2019, Catégories: Oral uro, Auteur: Alexandre, Source: Revebebe

    …Elle continue cependant sa miction, imperturbable…
    
    Je descends doucement, franchis son anus et dirige doucement ma main vers ce liquide chaud qui me tente. Je suis soudain éclaboussé par son urine qui finit de s’écouler en petits jets désordonnés. Je mets ma main en coupe et récolte les dernières gouttes. Je la porte à mes narines, ç’est fort mais pas désagréable, poursuivant le geste, et, avant d’avoir tout perdu, je bois la pisse de cette chère Mme Besson avec délectation. Elle n’en revient pas.
    
    — Je crois que nous allons bien nous entendre M Clément…
    
    Elle se redresse, met un peu d’ordre dans sa mise, se retourne vers moi, me saisit les oreilles de ses deux mains et me roule une véritable pelle de collégienne en chaleur.
    
    À mon avis, elle veut goûter elle aussi ! Elle enroule voluptueusement sa langue autour de la mienne, me fait une véritable lango-radiographie de la mâchoire, avec une virtuosité sans pareille. Comme si elle voulait vérifier qu’il ne me manque pas une canine ou qu’un début de carie ne se développe pas, sus à la carie !!!
    
    Elle la connaît bien, pourtant ma bouche, que diable ! Depuis peu elle connaît d’ailleurs un peu plus que ma cavité buccale ! Madame Besson ne peut complètement refouler ses instincts professionnels, même dans les moments les plus torrides. Reprenant son souffle avec peine, elle abandonne mes lèvres, ses yeux pétillants sont un vrai bonheur, elle a quinze ans, soudain…
    
    — Humm, ce n’est pas si mauvais que ça, le pipi ! ...
    ... Bien moins désagréable que les bains de bouche que je prescris à mes patients. Il va falloir que j’étudie de plus près cette délicieuse découverte !
    
    Elle m’abandonne à mon étonnement, se retourne et, devant la tranquillité du lieu, déclare :
    
    — C’est mignon tout plein ici ! Je ne connaissais pas, on ne se croirait pas sur un aérodrome, c’est d’un calme !
    — Il n’est pas très grand, vous savez, Mme Besson.
    — Monsieur Clément, voulez-vous me faire une faveur ? J’aimerais que vous m’appeliez par mon prénom, maintenant que nous nous connaissons un peu mieux.
    
    Doux euphémisme ! Madame Besson pratique l’art du doux euphémisme…
    
    — Je veux bien Madame…mais je ne le connais pas !
    — Liliane, mon cher Alexandre. Compte tenu de nos relations désormais, je vous autorise à m’appeler Lili, comme quand j’étais petite en Dordogne.
    — C’est joli, Liliane, et ça vous va très bien. Un peu désuet, mais joli. J’adore les prénoms, un peu tombés dans l’oubli comme Micheline, Liliane, Anastasie, portés par des femmes en pleine maturité, mais qui ont souvent un charme fou et un tempérament volcanique !
    — C’est de moi dont vous parlez, petit chenapan, vous dites « pleine maturité » pour rester correct j’espère…
    — Oui, Mad… euh Lili, les femmes mûres sont parfois de vraies merveilles. Elles sont souvent plus patientes, et il en faut de la patience avec un partenaire quinquagénaire ! Elles savent se montrer terriblement douces, mais aussi terriblement cochonnes et expertes dans les parties de ...
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