1. La patrouille s'agrandit


    Datte: 17/12/2019, Catégories: fh, fhh, 2couples, couplus, cocus, voisins, vacances, plage, piscine, caférestau, amour, Oral Partouze / Groupe fsodo, échange, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... mais surtout sa façon d’aller au-devant de la bite qui la ramone.
    
    Lui, reste bien au chaud, laissant le temps à son sexe de débander alors qu’a côté le couple ne se retient plus. Jean est un bûcheron qui tape, un paysan qui laboure, et sa copine le tronc, la terre qui reçoit le labeur de l’homme. Lui a fait tinter les bouteilles sur la table, mais eux les font carrément tomber. Personne ne s’inquiète du bruit de verre brisé, hypnotisés par le spectacle.
    
    La jouissance de Jean est un modèle du genre. Chaque montée est accompagnée d’une poussée dans la grotte pour attendre la suivante, puis encore, et encore. Si Lisa jouit, personne n’en doute. Fabian est presque jaloux des cris et gémissements que sa compagne ne retient même plus, appliquant à la lettre son souhait d’avoir une amie plus libérée. C’est juste qu’il avait pensé plus libre avec lui, pas avec les autres. Mais il ne boude pas son plaisir de la voir épanouie, savourant par avance ce que cela signifie pour plus tard.
    
    Voilà, c’est fait ; Jean libère sa proie. Fabian se retient d’aller voir si la chatte de son amie laisse couler la liqueur que l’ardeur de son amant lui a promise. Mais il n’ose pas. On le prendrait pour un vicieux et un pervers. Il suit les hommes qui retournent sur la terrasse, abandonnant les deux femmes en cuisine.
    
    Quelques minutes plus tard elles réapparaissent dans leur robe d’été, comme si rien ne s’était passé. Sauf que les sourires se font complices et que les verres se vident ...
    ... rapidement.
    
    Heureusement, les entrées épongent un peu les alcools. Puis le poisson en papillote, enveloppé de la pâte si chèrement malaxée, complète le repas.
    
    Plus personne n’a faim. Tout le monde est bien. Le monde n’est que plaisir. Gérard, hôte parfait, baisse les lumières. Il ne reste que l’éclairage sous-marin de la piscine pour faire concurrence aux étoiles. Les reflets sur l’eau rappellent à Fabian son rêve de l’après-midi. La confidence qu’il avait réservée à Lisa lui semble, après ce repas, l’alcool, et surtout ce qui s’est passé, une drôle de prémonition.
    
    — Quand je pense que tout à l’heure j’ai fait ce drôle de rêve…
    — Ah ? Mais lequel ? demande Martine.
    
    Il raconte Lisa avec Jean, Martine et Gérard sur la margelle. Les protagonistes n’osent ni avouer, ni nier. Il est trop tard. Ce serait heurter Fabian de lui dire que Lisa a sauté le pas alors qu’il dormait. Un homme, même s’il le fantasme, ne veut pas être mis devant le fait accompli.
    
    — Une vraie prémonition ! dit Martine afin de clore le débat. Et elle ajoute en riant qu’il reste encore du temps pour la réaliser vraiment.
    
    Cette boutade sert de déclencheur. Bientôt Gérard met de la musique. Les couples se forment. C’est délicieusement pervers de voir une femme passer dans les bras d’un homme, elle déjà nue, et aidant son partenaire à la suivre dans la liberté.
    
    Tout naturellement, Martine accapare Fabian. Elle a gagné son pari. Elle sourit d’imaginer son mari en charge de toutes les tâches ménagères ...