La patrouille s'agrandit
Datte: 17/12/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
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plage,
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caférestau,
amour,
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
échange,
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... que ce soit pour repousser des cheveux devant ses yeux.« On va faire comme si ! » pense alors Fabian qui se sent défié.
Installé maintenant derrière Martine, il pose délicatement ses mains bien à plat sur les fesses rebondies.
— Et moi ?
D’un seul coup, les regards sont attirés vers Lisa qui vient de parler.
— Ben oui… Et moi ? Moi, je n’ai pas droit au massage ? Pourtant moi aussi je travaille (elle montre ses mains dans la pâte) ; je me contenterais de mains calleuses.
C’est une sorte de défi qui est lancé, Fabian ne s’y trompe pas. Il hésite à peine, mais il a peur que sa voix ne trahisse sa nervosité ; aussi c’est par un hochement de tête qu’il donne son accord.
Jean n’a pas de scrupules, et les mains qu’il pose sur les fesses de Lisa sont tout sauf des planches froides. Il les connaît déjà, les ayant soutenues dans la piscine ; mais debout, elles sont plus fermes.
Fabian est libéré. Il n’est plus le centre d’attention. Il ne se gêne plus pour caresser la croupe qui se tend vers lui, et d’un regard constate que son voisin s’est déjà aventuré sous le tablier avec l’autre main sur un sein. Son ventre est collé à Lisa.
Lui aussi explore et découvre la fermeté des seins de Martine. Elle se frotte ostensiblement contre lui, et cacher son érection serait une faute d’éducation. Ce petit jeu dure un moment ; les couples s’observent. Soudain Martine se retourne et entreprend de détacher pantalon et slip. Elle laisse des traces blanches partout où ses ...
... doigts se posent.
Le pantalon sur les mollets, Fabian se sent ridicule mais son sexe érigé, plaqué contre son pubis, sert de mot d’excuse. Par respect pour le monument, Martine ne le touche pas mais l’embouche délicatement, prenant la mesure du loup. Sa curiosité est vite satisfaite car elle se relève et vient se pencher sur la table de travail. L’invite est pressante. Une réputation est en jeu. Que penserait Lisa si son ami hésitait devant cette proposition, d’autant plus qu’ils sont d’accord ?
Il regarde vers elle, cherchant son soutien, mais elle ne le regarde pas, trop occupée à sucer la queue de Jean. Alors d’une poussée il possède la femme, la secouant si fort que des bouteilles se cognent sur la table. La suite n’est plus que la poésie de la Nature. Au bout d’un moment il constate que Lisa est dans la même position que sa maîtresse et que son baiseur n’est pas manchot. Les deux femmes se tiennent par la main, échangeant dans une communion charnelle ce que leur amant, compagnon échangé, leur fait subir.
Il jouit assez vite. Il en avait envie depuis tant d’heures, et malgré le ralentissement dû à l’alcool, il n’a pas été au mieux de ses performances. Mais à côté, si ce n’est la même musique, le tempo est identique ; seule la longueur des notes est différente. Pour la première fois il est spectateur, ô combien attentif, de sa compagne avec un autre. Ils sont de profil, et c’est évident que Jean lui fait du bien. C’est facile à voir : les grimaces, les gémissements, ...