La patrouille s'agrandit
Datte: 17/12/2019,
Catégories:
fh,
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Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
échange,
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... mal – de marcher, de rejoindre au village sa compagne et ses voisins.
Deux kilomètres plus loin, il remarque le trio qui marche devant lui. Avant de les accoster, il profite de la vision sensuelle de Lisa qui est manifestement passée pour se changer et qui, comme Martine, arbore une tenue de saison : robe simple et assez courte qui moule ses formes. Il a beaucoup de chance d’avoir une telle beauté comme compagne, lui qui se trouve si banal. Martine est vue de dos, mais il sait que de face la même chose tient bien son rang. C’est fou comme les « vieux »… Non, il faut qu’il bannisse ce mot de son vocabulaire… C’est fou, donc, comme les femmes savent faire des défauts que l’âge occasionne des attraits. Il pense bien sûr à sa poitrine de reine, mais il sait que la chirurgie y a participé. Les hanches sont plus larges, mais si rondes que le tissu les moule et qu’elles sont de véritables aimants pour le regard. La taille reste mince, et il sait que la peau est encore de belle prestance.
Pendant qu’il suit le trio, il remarque que Jean a pris sous sa protection les deux femmes. Il marche au centre, et ses mains enveloppent la taille de chacune, faisant par derrière un tableau parfaitement symétrique. Chaque main est en réalité négligemment posée sur la hanche, froissant et même – mais est-ce bien par maladresse ? – remontant le tissu. La symétrie de ce trio n’est pas individuelle. Elle est « un ». Le plan de symétrie, comme dirait un expert en géométrie, c’est Jean, c’est ...
... l’homme. À sa gauche comme à sa droite, les formes féminines, avec la robe légèrement remontée à gauche comme à droite, donnent une véritable impression de liens étroits.
C’est vrai qu’à mesure qu’il s’approche, Fabian découvre une familiarité de Jean avec sa compagne. La hanche n’est pas qu’effleurée, elle est prise, littéralement propriété déclarée de la main qui est posée. Mais autre chose l’étonne. Parmi ses envies non avouées à Lisa et pourtant assez anodines, il y a le fantasme de la voir en robe et de savoir que dessous ni soutien-gorge ni culotte, même le plus petit string ne seraient portés. Et là, s’il ne peut être certain pour le soutif, au moins pour la culotte la certitude n’est pas loin. Les fesses semblent totalement libres, et le tissu littéralement collé ne montre aucune trace de surépaisseur.
Mais Lisa interrompt ses réflexions car elle se retourne et le découvre. Ah ! Aucune surprise, aucune gêne. Au contraire, elle quitte le couple pour venir se blottir dans ses bras.
— Oh, mon amour tu es enfin réveillé ! Ça va ? Pas trop mal à la tête ?
— Mais non. Et toi, ça va ?
La réponse est une preuve d’amour magnifique. Un baiser. Un baiser fougueux qui fait retourner les passants et rire les enfants. Mais rien de lubrique, et personne ne s’y trompe. Un couvent pourrait passer que les bonnes sœurs applaudiraient cet amour affiché et magnifique.
Bien sûr, de mauvaises gens pourraient insinuer que Lisa se sent coupable de ce qui s’est passé dans la ...