Anglefrique 06: La famille Macfish.
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... inerte, est couchée sur le ventre. Son père, est assis sur ses fesses, son pieu dans le vagin de son enfant. La jeune fille se laisse baiser sans rien dire, pleurant silencieusement, la tête tournée sur le côté. James la saisit par sa crinière blonde, lui redresse la tête pour qu'elle fasse face à Jane et Hayley.
- Allez April, ma chérie, dit bonjour à maman et sœurette...
April ne dit rien, se contentant de pleurer encore plus fort. Hayley et Jane peuvent lire dans son regard l'horreur la plus absolue. Mais James accélère ses coups de reins, se vidant en gémissant dans le ventre de sa fille, tout en regardant sa femme dans les yeux. Une fois son éjaculation fini, il se retire et se lève pour faire face à sa femme et sa fille.
- On discuteras après. Pour l'instant j'ai mieux à faire.
Il prend Hayley par la main, et la dirige vers le lit.
- Joss, il me reste un membre de ma famille à visiter. Vous pouvez vous amuser avec April.
Le capitaine fait un signe de tête. Le soldat qui tenait Hayley et le second de Joss, attrapent la blonde par les bras et la soulève du lit. Ils sortent de la pièce, suivit par celui soutenant la mère. Joss se retourne.
- Descend quand tu as finis.
- Je m'amuse un peu avec elle, et j'arrive.
Aussitôt après un hurlement emplit la pièce. Celui de Hayley que son père vient de violer. James sodomisera ensuite Hayley, puis se fera sucer par elle. Avant de descendre au salon avec sa fille aînée et de continuer à la baiser.
Les ...
... trois femelles de la famille Macfish, ont été violées près de vingt heures avant de pouvoir enfin se reposer. Ce que feront aussi les soldats. Elles dormiront dix heures d'affilées. Sans s'être lavée, recouverte de semence. C'est Joss qui les réveillent. On les menottes dans le dos. On les mets debout. Elles sont toujours dans le salon. James y entre alors, il vient de prendre une douche, il est nu. Sa femme le regarde avec dégoût.
- Pourquoi James, pourquoi?
- Tu te rappelles, il y a vingt-cinq ans, on était des jeunes mariés, mais mes affaires prospérais déjà. Je t'ai parlé de cette jeune femme, qui se prostituée devant son fils, pour une poignée de pièce? Je t'ai dis que ce ne serais pas grand chose, mais que l'on devrais l'aider.
- Non, je ne me rappelle pas. Je ne vois pas ce que cela à avoir avec ce que tu as fais!
- J'y viens. Tu t'es énervée, tu m'as dis que c'était leurs pays, qu'ils n'avaient qu'à ce débrouiller. Qu'ils avaient les moyens de se sauver eux-même. J'édulcore tes mots, je ne parle pas des propos abjectement raciste que tu as ajoutée... Je ne t'ai pas contredites, je t'ai juste dis qu'il fallait au moins aider cette jeune femme de tout juste vingt-et-un ans et son fils. Tu as hurlée comme une folle. M'a menacée de divorcer si je le faisais. Je t'aimais comme un fou à l'époque. Alors je t'ai dis oui, je me suis écrasé, je n'ai rien dis.
- Oui, je m'en rappelle maintenant.
- Je l'ai quand même aidé, elle et quelques autres. Je lui ai donné ...