Un étrange journal intime
Datte: 13/12/2019,
Catégories:
ffh,
nympho,
hsoumis,
contrainte,
noculotte,
Oral
pénétratio,
hsodo,
journal,
fantastiq,
Auteur: Rain, Source: Revebebe
... quelque chose. Je fis alors demi-tour et descendis les trois étages en courant pour me rendre au fleuriste du coin. Un bouquet de fleurs ! Voilà qui n’était pas très original mais, d’après ma propre expérience, avait fait ses preuves. La fleuriste me proposa des fleurs, dont j’ai oublié le nom, qui symbolisaient l’amitié.
Je remontais aussi vite les marches jusqu’à la porte d’entrée de celles qui m’avaient demandé de venir prendre l’apéritif. Je toquai sur la porte deux fois, mon cœur remontait et heurtait ma gorge, et alors que je m’apprêtai à cogner une troisième fois, la porte s’ouvrit. La fille que je n’avais vu que de dos (reluqué, irait mieux, pensai-je en souriant intérieurement) resta plantée devant moi un long moment sans qu’aucun de nous deux n’ouvrît la bouche. Elle avait un visage angélique que ses yeux bleus pales faisaient resplendir. Et surtout ! Elle avait une poitrine pleine et ronde, sans le moindre soutien-gorge, qui gonflait son haut blanc laissant deviner ses tétons. Mon sexe tressauta dans mon pantalon et je fis de gros efforts pour éviter qu’il ne franchisse le cap suivant, surtout quand mes yeux s’attardèrent un instant sur sa mini jupe en jean qui dissimulait à peine le galbe de ses fesses. Ce fut moi qui parlai (bredouillai conviendrait mieux, songeai-je) le premier :
— Bonsoir, je suis votre voisin d’à côté et vo… Ta colocataire m’a invité à prendre l’apéro.
Voyant qu’elle ne répondait rien et se contentait de me détailler de la tête aux ...
... pieds, je rajoutai maladroitement :
— Et donc, euh… Me voilà ! dis-je en souriant de toutes mes dents et en lui tendant les fleurs.
— Entre donc, répliqua-t-elle en roulant le r avec un léger accent slave qui ne faisait qu’accentuer son charme naturel.
Elle prit le bouquet, se plaqua contre la porte pour me laisser passer. Mais l’espace offert était trop mince, et à mon passage, sa poitrine effleura mon bras droit. Puis elle me montra la direction à emprunter et me suivit au lieu de me conduire. Un petit couloir menait à une porte entrouverte qui donnait sur un grand salon composé d’un très vaste canapé en forme de U inversé (à droite de la porte) devant lequel une table basse en verre supportait déjà tout le matériel nécessaire à l’apéro. Vanessa était assise sur le canapé. Elle portait une robe bleu pâle à bretelles qui s’arrêtait à mi-cuisse dont le décolleté possédait trois boutons. Deux étaient détachés et dévoilaient le renflement d’une ferme poitrine. À mon arrivée, Vanessa se leva et me fit signe de m’asseoir dans un large fauteuil assorti au canapé qui se trouvait face à celui-ci. Je m’y installai pendant que Sophia s’assit à gauche de Vanessa. Mon regard se posa sur elle quand elle se mit sur le sofa et il me sembla remarquer qu’elle ne portait pas de culotte avant qu’elle ait eu le temps de croiser ses jambes. À cet instant-là, je dois l’avouer, je me sentais penaud et décontenancé. J’étais mal à l’aise. Ces filles me rendaient nerveux et lorsque je levai les ...