1. Un étrange journal intime


    Datte: 13/12/2019, Catégories: ffh, nympho, hsoumis, contrainte, noculotte, Oral pénétratio, hsodo, journal, fantastiq, Auteur: Rain, Source: Revebebe

    ... me sucer et m’intima l’ordre d’enculer Vanessa avant de retourner se faire brouter le minou. Je plaçai mon gland à l’entrée de son œillet et m’empalai d’un coup sec au fond de ses fesses ce qui la fit haleter immédiatement.
    
    Vanessa poussait maintenant de petits cris aigus, son cul malmené par mon exploration anale de plus en plus vigoureuse, sa tête s’écrasant contre la moule de Sophia qui gémissait tendrement. Ces sons érotiques accrurent mon excitation et je me forçai à ralentir la cadence pour ne pas jouir trop vite. Je ne voulais pas les décevoir. Mais Sophia ne m’avait pas arraché la bite après tout. C’était peut-être une plaisanterie. Je me fis plus doux et Sophia prit à nouveau d’assaut mon esprit :
    
    « Qui t’a dis de ralentir mon coco ! Baise-la fort ! Démonte-lui le cul ! Tu aimes que je te parle comme ça. Ça t’excite toute cette vulgarité. Défonce-la ! Agrandit son petit trou ! Ou ce coup-ci, et ce n’est pas une plaisanterie (il me sembla qu’elle insistait sur ce mot comme si elle avait pu lire dans mes pensées), je te sectionne la bite. Tu comprends ? Vulgaire déchet ! Casse ce petit cul et fais-la jouir sinon gare à toi ! »
    
    Tous ces propos salaces (vulgaires, très vulgaires) m’avaient mis dans tous mes états et je me mis à marteler l’anus de Vanessa, l’enculant jusqu’à ce que mes bourses entrent en contact avec sa fente trempée. Heureusement pour moi, elle grimpa aux rideaux avant que je n’éjacule et Sophia jouit en même temps qu’elle. Quelques secondes ...
    ... plus tard, je m’extirpai de ses fesses et déversai plusieurs jets de sperme dans sa raie culière. Vanessa se tourna alors vers moi et me dit sur un ton sévère :
    
    — Allez ! Encule Sophia !
    — Quoi ! Tu plaisantes ? Je ne peux…
    — Encule-la, sale lopette ! Ou je te fais bouffer ton macaroni, hurla-t-elle en me foudroyant de ses yeux qui étaient devenus à nouveau deux perles noires inexpressives, sans le moindre blanc.
    — Mais je ne peux pas y arriver. Laissez-moi cinq minutes ! J’aurais aussi sans doute besoin de votre aide, dis-je timidement.
    — Tu as une minute comme tout à l’heure, et si tu crois qu’on est à ta disposition pour te sucer, tu te fourres le doigt dans l’œil mon coco.
    
    La main invisible de la peur posait ses doigts glacés sur ma gorge, prête à serrer, et je me concentrai pour essayer de la faire lâcher prise. Il fallait que je puisse avoir une nouvelle érection, sinon… Sinon quoi au juste ? Je l’ignorais, mais à mon avis, cela ne présageait rien d’agréable. J’attardai donc mon regard sur mes voisines et me focalisai sur les parties libidineuses m’imaginant plonger mon sexe dans leur bouche, leur con, entre leurs seins, et dans leur cul. D’ailleurs c’était ce qu’elles me demandaient, elles voulaient que je prenne leur cul. Étrange demande venant de la part de femmes ! D’habitude, quand ces dames vous autorisaient à pratiquer la sodomie, il fallait que cela ne dure pas trop, à cause de la douleur. Ces deux-là étaient l’antithèse des filles que j’avais connues. ...
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