Logement provisoire : Magali (2)
Datte: 13/12/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: fantaflo, Source: Xstory
... et vous prenez l’ascenseur ensemble et vous lui roulez une pelle. Vous allez directement chez vous. Sous une jupe évasée, elle a respecté vos consignes.
Magali commence à vous sucer dans le hall d’entrée et pendant qu’elle vous pompe, vous vous déshabillez. Vous l’emmenez sur le lit où Magali poursuit sa fellation. Vous la doigtez.
— Putain comme tu pues de la chatte !
Magali s’interrompt un instant :
— Désolée...
— Ta gueule ! Amènes tes jambes ici !
En 69, vous bouffez voracement le minou de votre voisine et celle-ci jouit une première fois. L’odeur forte et entêtante de cette moule de fin de journée vous surexcite et vous la léchez avec tant d’avidité que Magali cesse de vous sucer. Haletante et trempée de sueur, elle a orgasme sur orgasme.
— Baise-moi ! Baise-moi, j’en peux plus !
Vous venez entre ses jambes et glissez votre bite dans sa fente détrempée. Et vous la défoncez. Magali gémit, crie, rugit, hurle de plaisir. Jouit à nouveau.
— Tu t’y es remise depuis mardi ?
— A quoi ?
— Préparation de ton fion.
— Je me suis doigtée hier.
— C’est tout ?
— Oui...
— ...
... Tourne-toi.
Magali se met à quatre pattes. Vous mettez une grande claque sur son cul. Elle crie. Vous humidifiez votre majeur et le glissez doucement dans le petit trou.
— Mais bordel, c’est plein de merde là-dedans !
— Ben oui, je...
— Ferme-là ! Que je t’explique : y a un truc que j’adore, c’est quand on me suce la bite après une sodomie. Alors là, si je te prends par le cul, non seulement on va en mettre de partout, mais tu risques d’avoir un peu la nausée. Tu me comprends ?
— Oui, mais...
— Mais rien du tout, putain ! Tu dois toujours avoir le cul propre et prêt à recevoir ma bite, mes doigts ou ma langue.
— Ta langue !?!
— Oui, bordel ! J’adore bouffer des culs et je vais bouffer le tien ! Casse-toi, maintenant ! Tu m’as déçu ! Rentre chez toi, je ne veux plus te voir !
Du coin de l’œil, vous la surveillez. Elle se lève, rajuste ses vêtements et vous jette un coup d’œil. Ses yeux sont gonflés de larmes. Vous ne bougez pas, vous ne la regardez pas. C’est dur. Elle sort en refermant doucement derrière elle.
Une heure plus tard, vous recevez un message : "Pardonne-moi, ça ne se reproduira plus."