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Logement provisoire : Magali (2)
Datte: 13/12/2019, Catégories: Hétéro Auteur: fantaflo, Source: Xstory
... sonner. Magali porte un tailleur bleu marine, jupe et blazer, sous lequel elle a vêtu un chemisier blanc. — Tu es en retard. — Arrête ! Mon mari s’est réveillé en même temps que moi et on a baisé. Je ne te dis pas comme il était heureux de me découvrir entièrement rasée. Ensuite, je me suis préparée et quand il m’a vue habillée ainsi, il a voulu remettre ça. Je ne voulais pas qu’il trouve le porte-jarretelles et je l’ai sucé. Il vient de jouir dans ma bouche. — Vu que tu as déjà commencé, tu peux continuer avec moi. Magali s’agenouille et vous suce jusqu’à ce que vous lui disiez de se relever. — Viens dans la chambre ! Vous vous asseyez sur le lit et ordonnez à votre voisine de se déshabiller lentement. Le chemisier tombe sur un jolie soutien-gorge blanc. Vous acquiescez de la tête. Magali sourit et retire sa jupe. String assorti mais porte-jarretelles noir et bas couleur chair. — C’est quoi ce porte-jarretelles noir avec des dessous blancs ? Dernière fois, OK ? Elle acquiesce d’un signe de tête. Une fois qu’elle est nue, vous lui dites : — Comme tu viens de te faire sauter par ton mari, t’es prête là. Viens t’asseoir là-dessus. Magali s’empale à califourchon sur votre bite. Sans sourciller. — T’aimes bien faire la pute comme ça, hein ! Deux fois de suite, deux hommes... — Mmmmh... — Tu veux que j’appelle deux potes ? Je suis sûr que tu adorerais. — Ce... ce serait trop... non ? — Moi, ça me plairait. Tu me sucerais pendant ...
... qu’ils te baiseraient. — Si... si tu veux... Je n’en reviens pas. Magali serait d’accord pour être baisée par d’autres hommes parce que je lui demande. C’est fou. Vous baisez bien fort votre voisine et jouissez dans son vagin. Comme son mari auparavant. Elle va se nettoyer. Elle va partir, vous lui dites : — Je ne vais plus te lâcher maintenant. — Je viens tous les jours si tu veux. — Est-ce que je t’ai dit comment je te trouvais bonne vêtue comme ça ? — Non. Mais ça se voit. Et ça me donne chaud. Elle rit. Vous l’embrassez en posant vos mains sur ses fesses. — Quel cul, putain... Elle sourit. — Chez moi, quand tu as dit qu’il t’excitait, c’était... — C’est vrai. Je raffole des gros culs. Le tien me rend fou. Je te prendrais bien qu’en levrette. — Mmmh... Ne te gênes pas... — Je changerais peut-être d’orifice... Nouveau sourire, ses joues s’empourprent. Vous souriez : — Si tu me dis que tu es vierge de ce côté-là, je ne te crois pas une seconde. — Pas vierge, non. Mais c’était il y a longtemps. — Prépare-toi. Je risque bien de te défoncer la rondelle. — Arrête. J’ai déjà le string trempé. Un dernier baiser et Magali s’en va. Vendredi 20 avril Vous récupérez encore des heures et vous rentrez plus tôt. Vous vous dépêchez un peu car vous savez que Magali arrive un peu après 16h ce jour-là. Vous vous garez et sortez quelques instants devant l’immeuble. Vous apercevez Magali à peine deux minutes plus tard. Vous lui ouvrez ...