Une mariée qui doute
Datte: 13/12/2019,
Catégories:
ff,
enceinte,
fête,
toilettes,
revede,
init,
coupfoudr,
fsoumisaf,
Auteur: Lucia, Source: Revebebe
... vue et que j’ai retrouvée aujourd’hui par le plus pur des hasards. Elle accepte mon invitation. Je suis heureuse, je vais pouvoir la voir encore.
Au milieu du repas, je m’éclipse aux toilettes, je passe au préalable devant sa table saluer les convives leur demander si tout se passe bien, puis après avoir lancé un regard à Dominique, je pars me rafraîchir.
Les toilettes sont grandes et, par chance, il n’y a personne. Au bout de quelques minutes, j’entends des pas, je m’avance pour l’accueillir, hélas c’est ma belle-mère. Je fais front et je lui parle de tout et de rien, puis arrive Dominique qui sourit de la situation.
Enfin ma belle-mère s’en va. Dominique me tire alors vers les toilettes pour handicapés.
— Ici on ne sera pas dérangées.
Elle ferme la porte puis me regarde :
— Que cherches-tu ? Tu viens de te marier.
— Je ne sais pas, dans l’escalier quand tu m’as fait tomber sur toi, j’ai senti quelque chose que j’aimerais comprendre.
Puis j’ajoute :
— Serre-moi dans tes bras.
Elle s’approche alors de moi et me tire à elle. J’ai le sentiment d’être son jouet. Elle décide de me porter sur ses bras.
— Ton mari ne te l’a pas fait aujourd’hui ! Alors laisse-moi le faire à sa place.
Et moi de lui répondre :
— Tu sais, déjà c’est à toi que j’ai pensé pendant la cérémonie.
Et à ces mots, elle me donne mon premier baiser saphique.
Et au même moment je comprends que ma vie ne sera plus jamais la même.
— Donne-moi ta culotte avant de ...
... revenir à la table des mariés.
Son ordre me ramène à la réalité. Sa voix est dure et, sans réfléchir, je m’exécute. J’ai un peu honte en la lui donnant tant elle est mouillée.
Dominique la porte à sa bouche.
— Tu sens bon.
Nous retournons nous asseoir à notre table. Mon mari me regarde :
— Tu m’as manqué, mon cœur.
— Toi aussi, mon chéri.
Je le regarde et je souris. Cela fait à peine trois heures que je suis mariée et j’ai déjà embrassé quelqu’un d’autre. Et c’est une femme. Je regarde vers sa table. Elle me tourne le dos. Elle a toujours sa tenue de greffier. Elle a les épaules musclées comme une nageuse ; de dos on ne peut deviner qu’il s’agit d’une femme. Elle est forte, elle m’a soulevée avec une telle facilité. Mais je ne dois pas trop penser à elle, je suis sans culotte et terriblement excitée.
Au bout d’une heure, je prétexte de nouveau de tenir compagnie aux convives pour m’approcher de sa table. Une place à côté d’elle est libre. J’en profite.
Aussitôt je sens son pied sur le mien. Dominique est joueuse et ça me plait. Elle semble n’avoir peur de rien, le fait que mon mari, ma belle-famille soit juste à côté ne la dérange pas.
J’ai envie d’elle. Elle me glisse à l’oreille :
— Cette nuit, rejoins-moi chez moi.
— Cette nuit je ne peux pas, c’est ma nuit de noces !
— Tu me dragues ouvertement, tu m’invites à ton propre repas de noces et tu ne serais pas capable de me retrouver chez moi ce soir ?
— Non, je ne peux pas, je suis désolée mais ...