1. 40 ans


    Datte: 12/12/2019, Catégories: fhh, sport, douche, odeurs, Oral Partouze / Groupe yeuxbandés, totalsexe, Auteur: Oscar Cemeliasis, Source: Revebebe

    ... lents et assurés, presque lourds. Ils étaient maintenant tout proches. La tension monta en elle immédiatement. Son esprit se figura instantanément ses images d’athlètes aux corps sculpturaux, à la poigne virile et aux membres démesurés dressés fièrement dans l’attente d’une saillie. La boule au creux de ses reins réapparut. Chaque centimètre de sa peau percevait la vibration de l’air provoquée par les pas des deux silhouettes qu’elle imaginait massives. Les pas résonnèrent enfin dans la pièce. Elle entendit les deux hommes s’immobiliser à quelques mètres d’elle. Bien qu’habillée, elle se sentait terriblement nue, ainsi offerte au regard de ses deux inconnus. Qu’attendaient-ils ? Pourquoi ne parlaient-ils pas ?
    
    De longues minutes s’écoulèrent sans que rien ne se passe. Elle sentait leurs yeux sur elle. Ils jouaient avec elle, telle une souris prisonnière entre les pattes du chat qui attend qu’elle bouge pour faire durer le plaisir. Sa fierté féline s’était envolée. Elle n’était plus que la proie captive d’un prédateur attendant le moment de bondir. Tous ses sens étaient à leur paroxysme. Elle sentait chaque goutte de sueur dégouliner le long de sa peau, depuis le creux de son oreille jusqu’à ses orteils. Elle sentit son sexe se gorger, animé de cet ardent désir qu’elle avait ressenti en entrant dans la voiture.
    
    Les deux colosses se remirent en mouvement, toujours dans le plus grand silence. Elle perçut leur souffle près d’elle, la chaleur de leurs corps. Ils se ...
    ... tenaient juste à côté. Elle sentit une main qui passait dans ses cheveux pour dégager son cou. Sa peau réclamait cette caresse, voulait attirer ces doigts, cette main sur elle. Par gestes lents et précis, elle se sentit déshabillée. Des doigts agiles déboutonnaient un à un les boutons de sa robe qui collait à sa peau. À chaque bouton défait, les mains prenaient soin de dégager le tissu, ses seins dardant sous la dentelle noire, son ventre perlé de sueur. Le dernier bouton fut enfin libéré.
    
    Son corps, son intimité étaient désormais offerts au regard. Plus rien ne la protégeait, ne pouvait faire obstacle à la voracité des deux mâles qui ne tarderaient pas à se repaître d’elle. Les deux hommes ôtèrent totalement sa robe qui tomba à terre dans un bruit de tissu trempé puis ce fut le silence et l’immobilité. Une partie d’elle voulait se saisir de sa robe à terre et s’enfuir en courant pendant que l’autre suppliait qu’on lui arrache ses sous-vêtements pour se jeter sur elle. La proximité avait exacerbé les senteurs. Les deux hommes dégageaient une puissante odeur de transpiration, forcément le fruit d’un intense entraînement. En temps normal, Sarah aurait été incommodée mais à cet instant, elle eut le sentiment que sa part animale avait totalement pris le dessus. Elle n’était plus Sarah, non. Elle venait de se transformer en un concentré de désir primaire, portée par un instinct animal venu de la nuit des temps, où les êtres humains laissent de côté la civilisation pour redevenir les ...
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