1. Le petit bar 3/4


    Datte: 17/01/2018, Catégories: fhhh, extracon, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, photofilm, Partouze / Groupe Auteur: Cokinou, Source: Revebebe

    J’ai découvert que mon épouse, Sonia, a décidé de se dévergonder. Ma douce femme me trompe chaque mardi à 14 heures selon un rituel maintenant bien établi. Mardi dernier, son amant Marc, électricien, était accompagné d’un de ses collègues, Jean-Paul. À l’aide d’une caméra miniaturisée, je filme ses ébats dans notre salon. Après la colère et l’excitation, j’ai décidé de reprendre le contrôle de la situation.
    
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    Mercredi matin 7 h. La nuit fut courte. J’ai eu un mal fou à trouver le sommeil à ses côtés. Toutes les images de la vidéo filmée la veille se télescopaient dans mon cerveau embrumé.
    
    Sonia se leva la première et comme à son habitude, se prépara un café. Ensuite elle réveilla les enfants et vint me réveiller. Rien ne changeait à ses habitudes. Pourtant, je ne la regardais plus comme la veille. J’avais pensé, dans un premier temps, aborder une conversation orientée pour savoir si Sonia réagirait ou si un regard trahirait un quelconque malaise. Mais en la voyant aller et venir tout à son aise, sans que rien dans ses gestes ou ses paroles ne laisse transparaître quoi que se soit, je compris que je n’obtiendrais rien.
    
    Les femmes qui mentent sont redoutables. J’élaborai alors un tout autre plan. Puisque je savais déjà tout, il me fallait reprendre le contrôle de la situation. Je savais où rencontrer ces ouvriers : au petit bar. Je décidai alors de mettre en place une subtile stratégie pour entrer en contact avec les amants de ma femme.
    
    Le jour ...
    ... même après avoir troqué mon costume-cravate pour un jean, pull et blouson, je me rendis au petit bar vers 11 h. J’attendis patiemment, je savais que je les rencontrerai. Vers midi et demi, ils arrivèrent. Marc et Jean-Paul s’installèrent à côté de moi au comptoir pour prendre un apéritif. Ils discutèrent de leur travail et des soucis qu’ils rencontraient avec leurs employeurs respectifs. Ils parlaient fort, prenant un peu à témoin le serveur. Le moyen d’entrer en contact avec eux était évident :
    
    — Vous avez raison, ils sont chiants ces patrons, lançai-je, ils en veulent toujours plus !
    — C’est vrai ! répondit Marc. Il faudrait que le travail soit fini avant de commencer !
    — En plus pour ce qu’ils nous payent, rajouta Jean-Paul. Ils ne se rendent pas compte, ça se voit qu’ils sont déconnectés de la réalité.
    — Moi, mon patron veut en plus que tout fonctionne du premier coup ! Au fait je me présente, je m’appelle Didier, je suis informaticien, leur dis-je en leur serrant la main.
    
    Ils se présentèrent. J’appris alors que Jean-Paul était carreleur.
    
    Et voilà, le contact était pris. Je m’étais créé une nouvelle identité et un nouveau métier. La conversation reprit sur les patrons. Ah ! Ces patrons exigeants, pressés, radins, jamais contents, qui exploitent les salariés et les ouvriers. On y était ! La guerre des classes dans toute sa splendeur. Au cours de cette discussion, j’avais envie de leur expliquer que la vie d’un employeur n’était pas ce qu’ils imaginaient ! Mais ...
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