1. Amoureuse de Papa (1)


    Datte: 10/12/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: IciLéa, Source: Xstory

    ... Viens.
    
    Je prenais la main qu’il me tendait et je m’asseyais directement sur le bureau, à côté du clavier et de la souris, presque face à lui. Le bois du meuble était dur contre mes fesses. Ce n’était pas super agréable mais qu’importe, j’allais pouvoir commencer.
    
    — Où sont ta mère et Sandrine ?
    
    — Maman est dans sa chambre, Sandrine regarde la télé. Moi je ne vais pas tarder à me coucher; j’ai cours demain.
    
    — Tiens en parlant de ça, comme mamie vient dîner à la maison demain soir, soyez gentilles ta soeur et toi; rangez et faites un peu le ménage quand vous rentrerez.
    
    — Oui, pas de problème… On a déjà commencé… de toute façon. Pas de souci… Je ne sais pas ce que j’ai…ça me gratte !
    
    En parlant, je grattais mes genoux exprès, et, l’air de ne pas y toucher, je relevais ma robe pyjama avec le plat de mes mains dans le but de dévoiler mon intimité. Ma robe était à présent bien remontée, elle m’arrivait mi-cuisses. Mes jambes se balançaient sous le bureau de mon père. À la pensée qu’il suffisait que j’écarte les cuisses pour qu’il aperçoive mon sexe, je sentais une chaleur agréable envahir mon bas-ventre. Et s’il décidait de tendre la main vers mon entrejambe ? Après tout, j’étais à moins d’un mètre de lui. Il pourrait même me sentir. Je commençais à mouiller. C’était trop excitant.
    
    Je posais une main sur chaque cuisse et je regardais fixement la porte pour lui offrir mon visage de profil. Ça faisait partie du plan. Je ne voulais pas qu’il puisse voir mes yeux. ...
    ... Je ne voulais pas qu’il se sente coupable ou honteux s’il venait à croiser mon regard après avoir maté mon intimité.
    
    Ça y est, j’écartais les cuisses, tout doucement, pas en grand, pour ne pas tomber dans la vulgarité d’une part mais aussi car je ne voulais pas ruiner ce moment en me précipitant. J’avais chaud. J’étais excitée. Mon sexe palpitait de désir. J’avais envie de me toucher, de me caresser devant mon papa, d’y mettre un doigt ou deux pour me faire du bien. Mais je me retenais. Il fallait suivre le plan. J’essayais de respirer calmement, normalement.
    
    J’avais maintenant les cuisses écartées, pas de beaucoup, 45 degrés environ. Cette position offrait une vue suffisante sur ma jolie toison brune et je pouvais toujours feindre l’innocence si tout tombait à l’eau et que je me faisais recadrer par papa. Je sentais son regard rivé entre mes jambes comme un aimant. Mon coeur battait la chamade. Je ne disais rien. Je fixais toujours la porte. À peine une minute s’était écoulée - une éternité ! - mon père n’avait toujours pas dit un mot. Pas de remontrances. C’était bon signe. Cuisses toujours ouvertes, je me retourne vers lui et lance d’un ton enjoué : “Bon, il est tard, je vais me coucher. Bonne nuit papa d’amour.”
    
    Sans attendre sa réponse, je descends de son bureau et quitte la pièce en courant presque.
    
    Une fois dans ma chambre (que je ne partageais pas avec ma soeur), la porte fermée, je m’allonge sur le lit et je fais le point mentalement, dans le noir: Il a ...