2 - Patrick
Datte: 08/12/2019,
Catégories:
hh,
hbi,
Oral
hdanus,
hsodo,
Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe
... donne-moi ton plaisir !
Et il gagne en course, reculant toujours très lentement pour bien que je le sente glisser. Il m’encule royalement, sans bestialité, c’est de la grande prestation, de l’art. La vaseline est bien mieux que n’importe lequel des gels, car son effet lubrifiant reste constant. Et du frottement, ce soir, il y en a pas mal !
Il se redresse, relève ma jambe, recule chaque aller-retour un peu plus, et revient coller ses couilles contre ma jambe.
— Ta queue est une œuvre d’art, je suis déjà en train de jouir, baise-moi encore, ne t’arrête pas, je t’en supplie ! Donne-moi ta queue, donne-la-moi !
De mes mains, j’écarte mes fesses pour mieux offrir mon cul à ses puissants coups de queue. Je le supplie de me pourfendre, de me défoncer.
— Tu veux que j’aille plus vite ? Tu n’as pas mal ? s’inquiète-t-il.
Transporté, je lui demande de me prendre sur toute la longueur, de m’enculer bien droit, de me calibrer à son modèle. Et graduellement, il accélère en commentant ses sensations. Cette sodomie, je crois que nous la vivons tous deux avec une rare intensité. Il me projette ses 20-22 cm avec vigueur dans mon cul dilaté comme jamais, et la brûlure n’est que plaisir, que jouissance. Ses burnes dures et relevées claquent contre ma jambe. Je lui demande toujours plus, et il répond. Ma prostate me brûle également, je suis en train de prendre mon pied, mais ne sais pas si j’éjacule ou non, ni même si je bande, mais je sais que je jouis. Ma tête est un ...
... tourbillon, un carrousel. Je crie, je souffle, je râle, je… jouis intensément, à perdre raison.
Patrick hurle soudain comme une bête ; son bassin se plaque plusieurs fois de suite contre le mien. De terribles soubresauts traversent sa bite solidement plantée en moi, il est évident que ses couilles sont en train de se vider entre mes fesses, pour mon plus grand plaisir. Il m’a ouvert comme aucun homme n’y est parvenu jusqu’aujourd’hui, il a trouvé sa place, et c’est avec honneur que j’accepte son foutre brûlant. Une dernière poussée, une dernière giclée, et il tombe sur mon dos, le souffle haletant comme un marathonien. Je nage en plein bonheur, le cul en feu, le ventre brisé, mais sa queue m’a fait planer au-delà des nuages.
— Tu m’as mis le compte ! lui dis-je après quelques minutes de répit, le souffle encore court. Mais j’ai adoré. Tu m’as enculé comme un Dieu !
Lentement il se retire, et j’imagine le trou béant qu’il laisse en sortant. Son vit à demi mou pend juste sous mon nez, il me faut embrasser le vainqueur. Dans un ultime effort, je passe la main pour le saisir par les couilles, et le tire jusqu’à ma bouche. Son gros gland a un bon goût de foutre chaud, légèrement âcre, salé ; je le nettoie amoureusement de la langue insistant bien sur la couronne. Avec beaucoup de complicité, Patrick pince alors sa hampe afin d’en extraire les dernières gouttes, comprenant mon besoin. J’aurais volontiers bu la splendide éjaculation qu’il m’a si puissamment introduite entre les ...