1. 2 - Patrick


    Datte: 08/12/2019, Catégories: hh, hbi, Oral hdanus, hsodo, Auteur: Rollerbi, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :Suite à une rencontre fortuite dans un bar, je me retrouve dans l’arrière-boutique d’un homme mûr, où je cède à l’envie de son membre hors norme ; une complicité sexuelle s’installe entre nous.
    
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    Nous nous sommes vraiment très bien accordés, et je tiens à conserver son sexe dans mon fondement un très long moment avant de m’allonger à côté de lui. Repus et bavardons comme deux amis de longue date, de nos vies… La mienne à vingt ans se résumait à quelques aventures, quelques copines, quelques mecs, et mon job. La sienne en revanche s’avérait être plus riche.
    
    Il avait épousé une femme vingt ans plus tôt, et avait grâce à elle découvert des côtés de sa personnalité qu’il n’avait jamais soupçonnés, y compris dans les affaires. Derrière certaines réussites se cache très souvent une femme, je l’ai depuis très souvent remarqué. Au bout de quelques années sans grossesse, malgré plusieurs tentatives, ils ne purent avoir d’enfants. Ils compensèrent d’abord en se concentrant sur les affaires, plus particulièrement dans le textile, en ouvrant des boutiques dans de nombreuses galeries ; jusqu’à dix en région Rhône-Alpes. Ils tournaient beaucoup, passant à chaque fois au moins une demi-journée dans chaque magasin pour vérifier les stocks, les comptes, etc. Bref, de la gestion d’entreprise.
    
    Parfois, pour plus de simplicité, l’un des deux dormait à l’hôtel afin de ne pas faire trop d’allers-retours. Jusqu’au jour où, ayant de ...
    ... plus en plus de doutes, Patrick s’aperçut que sa femme avait une liaison avec un gérant d’une des boutiques.
    
    Abattu comme tout homme aimant son épouse lorsqu’il découvre la trahison, il garda cela pour lui quelques mois, et prit certaines dispositions quant à ses affaires. Puis un soir il lui dit tout savoir, mais… ne pas comprendre ces faits. Et là, elle lui reprocha de ne pas l’avoir comblée, de ne pas avoir été suffisamment attentif à elle, et bien plus encore. Bref, elle n’en pouvait plus, et trouvait refuge dans les bras d’un autre qui, lui, troussait… sa patronne !
    
    Une procédure de divorce fut entamée. Se sentant grandement responsable, il ne chargea pas sa moitié, et n’en voyait pas l’intérêt. De l’argent, ils en avaient assez pour vivre, et finalement, pourquoi toujours courir après la fortune, sans enfants à élever, sans patrimoine à conserver ? Ils se séparèrent et vendirent les boutiques, et n’en gardèrent qu’une, celle-là même où nous étions.
    
    Une vendeuse lui mit le grappin dessus, et profita de sa détresse pour précipiter les choses. Mais ce n’était pas l’entente absolue, et elle avait peur… de sa queue. Elle baisait finalement juste ce qu’il fallait pour s’octroyer un statut de concubine ! Il la nommait « Aspro » lorsqu’il m’en parlait, tant son mal de tête était chronique. Un jour il s’est mis en colère, et lui intima l’ordre de débarrasser le plancher, de sortir de sa vie. C’était il y a un an.
    
    Lorsque je lui ai demandé pourquoi un homme alors ce ...
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