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Love on the net
Datte: 08/12/2019, Catégories: fh, hsoumis, fdomine, cérébral, pénétratio, fouetfesse, sm, hsoumisaf, internet, Auteur: Brodsky, Source: Revebebe
... restaurant. — Par qui ? — Par les clients. Je ne peux pas refuser sous prétexte qu’il faut que je satisfasse mon esclave. Mais je t’enverrai des messages par iPhone. Et tu as intérêt à répondre ! — Ça va paraître bizarre… — Ne t’en fais pas : je sais être discrète, moi. Je n’ai pas peur du « boss ». — Tu es folle… — Oui, mon amour… tu me rends folle. Allez, zou ! Au lit ! Et n’oublie pas : je veux mes photos dans une heure au plus tard. — Oui, Déesse. — Je t’aime, espèce de pervers… — Je t’aime, sorcière… — Pas convaincantes, les photos, mon chéri. Je crois que tu as tendance à abuser de ma bonté. — Arrête, s’il te plaît… J’ai vérifié : on voit bien des traces cette fois. — Mouais… Peut mieux faire. Tu peux te coucher tôt ce soir. — Tu ne pourras pas discuter, finalement ? — J’ai une autre idée. À l’heure où je vais rentrer, il sera quatre heures du matin chez toi. — Oui, et ? — Tu te connecteras à 4 h 30. — Ça fait tôt… — Je te veux à poil et à genoux devant ton écran d’ordinateur à quatre heures trente, devant une de mes photos. — Laquelle ? — Celle où on voit bien ma chatte… — Pas possible. Si je mets la photo, je n’ai plus la conversation sur l’écran. — Tu fais comme j’ai dit, et tu laisses ton téléphone près de toi. Je t’appellerai. — Tu es folle ? De là-bas, ça va te coûter une blinde. — M’en fous, c’est mon patron qui paye. — Tu es certaine que ça ne va pas te poser de problème ? — Des problèmes, c’est toi qui vas en avoir si tu continues à ...
... discuter. À demain 4 h 30, esclave ! Je t’aime… — Allô ? — Alors, esclave ? J’espère que tu es dans la tenue et la position que j’ai demandées. — Oui, ma Déesse. — Tu es resté tout ce temps à genoux devant ton écran ? — … — Réponds ! Tu as encore désobéi ? — Je croyais que tu n’appellerais plus. — Je fais toujours ce que j’ai promis, moi. Tu sais ce qu’il en coûte de désobéir. — S’il te plaît, ma chérie, pas le martinet. Pas ce matin… — Non, pas de martinet… Tu as de la chance, je suis de bonne humeur. Va chercher la clef de ta cage. — Où l’as-tu mise ? — Sous ton nez, nigaud. Regarde sur ton porte-clefs. — Putain ! — Ha ha ha… — Tu m’as bien eu cette fois. — Allez, prends-la, et délivre ta queue. — … Voilà, c’est fait… — Bien. Va te remettre en position devant ma photo. — J’y suis. — Tu aimes ma chatte ? — Tu le sais bien… — Putain, si tu étais près de moi, tu pourrais la lécher… — J’en ai tellement envie, mon amour… — Je suis complètement trempée rien qu’à y penser. Tu aimes ça quand je suis trempée, hein ? Quand tu as le visage plein de ma mouille et que ta langue me lape comme un petit chien… — Oh là là… — Tu es en train de te caresser ? — Oui, mon amour… — Attention : tu n’as pas le droit de jouir pour l’instant. Retiens-toi. — Je ne sais pas si je vais pouvoir… — Alors stop ! Tu ôtes ta main de ta queue. — Mais… — Tout de suite ! — Oui. — Elle est dans quel état, ta queue ? — Au maximum du maximum. — J’aimerais bien voir ça… — … — Tu ...