1. Love on the net


    Datte: 08/12/2019, Catégories: fh, hsoumis, fdomine, cérébral, pénétratio, fouetfesse, sm, hsoumisaf, internet, Auteur: Brodsky, Source: Revebebe

    — Coucou !
    — Coucou, mon amour… Ça va ?
    — Oui… Et toi ?
    — Tu me manques déjà.
    — Tu as fait bon voyage ?
    — Bof… Complètement naze… Lejetlag…
    — Tu as combien de décalage avec ici ?
    — Cinq heures… J’en ai pour deux jours à me remettre, et au retour ce sera pareil.
    — Ouais… Vivement ton retour quand même…
    — Un mois, mon chéri. Si tout va bien…
    — Hum. J’espère qu’ils vont te le signer, ce foutu contrat.
    — Oui, moi aussi… Tu n’es pas top fatigué ?
    — Pourquoi, mon cœur ? Il n’est que deux heures du matin…
    — De toute façon, tu n’as pas trop le choix. Je ne serai jamais libre avant. Parfois plus tard, même…
    — Ouais… Mais moi, je me lève quand même à six heures et demie.
    — Je m’en fous. Je veux pouvoir te parler tous les soirs.
    — Moi aussi, tu le sais bien.
    — De toute façon, ce soir, tu pourras te coucher tôt. Et demain aussi… Il faut que je récupère de la fatigue du voyage.
    — Tu es gonflée… Et moi, je vais devoir vivre ici avec les heures de là-bas ?
    — Toi, tu n’as rien à dire. Tu es mon esclave, tu te rappelles ?
    — Oui.
    — Tu es mon esclave, même quand je ne suis pas là.
    — Oui, je sais.
    — Tu dois être disponible pour moi dès que je me connecte.
    — Oui.
    — Oui qui ?
    — Oui, Déesse.
    — Tu as intérêt, sinon tu ne sauras pas où j’ai planqué la clef.
    — Tu l’as laissée ici ?
    — Ben oui, crétin. J’ai laissé le double. Je ne vais pas t’imposer un mois ou plus d’entière chasteté. Tu me crois folle à ce point ?
    — Tu l’as mise où ?
    — Chut… Tu l’apprendras quand tu ...
    ... l’auras mérité. L’autre clef est autour de mon cou… Elle pend jusqu’à la naissance de ma poitrine.
    — Hum…
    — Tu les aimes, mes seins, n’est-ce pas ?
    — Si tu savais…
    — Dis-moi comment tu les aimes.
    — Ce n’est pas de l’amour, ma chérie : c’est de la vénération. Ils sont si doux, si délicats, si fermes au toucher…
    — Tu aimes les caresser, les lécher ?
    — Oui, mon amour…
    — Ça t’excite de penser à eux ?
    — Oui, mon amour…
    — Comment tu te sens dans ta prison de plastique ?
    — Excité, mon cœur… J’ai envie de me branler.
    — Pas possible ce soir, ne rêve pas. Tu n’es pas un peu à l’étroit ?
    — Très à l’étroit.
    — Il va falloir que tu apprennes à te contrôler mieux que ça. Ce n’est que le premier soir.
    — Comment veux-tu que je fasse ? Tu me rends complètement fou !
    — Je ne sais pas, mon cœur… Prends une douche bien fraîche avant d’aller dormir.
    — Déjà ?
    — Je te l’ai dit : je suis crevée ce soir… Allez, à demain mon amour. Je t’aime…
    — Moi aussi je t’aime, espèce de sorcière…
    — Je t’ai dit que tu devais être en ligne lorsque je me connectais. Tu n’es pas en ligne. Tant pis pour toi. En représailles, je ne me connecterai pas ce soir. De toute façon, je suis épuisée, et j’ai besoin de dormir.
    — Mon amour, tu sais bien que je suis au taf à cette heure. Comment veux-tu que je sois en ligne en même temps avec le boss en face de moi ? Je t’aime, mon cœur… Je t’en prie, ne sois pas injuste.
    — Je suis injuste si je veux, esclave. Tu n’auras rien de moi ce soir, un point c’est tout. ...
«1234»