Expérience masturbatoire en public - Histoires de Sexe

Expérience masturbatoire en public

... manifestement très amoureuses, jouaient avec un cerf-volant non loin de nous. Les petits triangles bondissent au rythme de leur oiseau coloré, les quatre seins tressautaient en tous sens : la scène était ravissante.

Gabrielle s’est déshabillée à la hâte, un peu comme chez le médecin, et a fourré sa robe, son soutien-gorge et sa culotte dans son sac de plage, ne gardant sur elle que ses lunettes de soleil. Elle a frissonné sous la caresse indiscrète du vent. L’été finissant avait laissé sur sa peau les marques du maillot de bains, ce qui trahissait qu’elle n’était pas une naturiste expérimentée. Par un réflexe pudique, elle cachait son sexe derrière ses mains jointes. Elle avait le cœur battant, l’impression de transgresser un interdit, sans doute un héritage de l’éducation stricte qu’elle avait reçue. Doucement, je l’ai amenée à retirer cette protection et même à écarter les cuisses, allongée sur le dos. Peu à peu, elle s’est détendue. Son imposante poitrine trônait sous le soleil pâle. Elle se sentait bien. Quelques messieurs, curieux de découvrir sa vénusté, ont approché, d’abord prudemment, pour ne pas risquer d’effrayer ma douce et tendre Gabrielle avec leurs verges roides, puis plus franchement, une fois rassurés sur le fait qu’elle n’était pas si farouche. Il fallait seulement qu’elle se laisse apprivoiser par cet étrange public, friand de nudité féminine.

Gabrielle rougissait comme une adolescente qui devrait se dévêtir chez le gynécologue pour la première fois. ...

... Il lui a fallu une dizaine de minutes avant qu’elle accepte d’écarter ses jambes, afin qu’on voie sa jolie vulve nouvellement toute glabre, alors qu’elle avait l’habitude de la porter herbue. Pendant ce temps, je lui tenais la main, accroupi près d’elle, et je lui contais fleurette. Puis, j’ai sorti de mon sac à doc les cadeaux que je lui avais préparés : un gros vibromasseur à boule, à pile évidemment, ainsi que deux boules de Geisha vibrantes, assez volumineuses et toutes douces au toucher. Je savais qu’elle n’aimait guère la pénétration vaginale par un jouet coquin, mais par contre, elle appréciait d’avoir l’anus occupé – elle s’était d’ailleurs purgée pour l’occasion. Elle s’est mise à quatre pattes sur le sable, appuyée sur ses avant-bras, le dos bien cambré et la croupe relevée, afin que je lui écarte les fesses à pleines mains, puis insère les deux boules bien lubrifiées qui bourdonnaient dans l’air azuré et la faisaient frémir d’aise à l’avance. À chacune des deux intromissions, lorsque la sphère a franchi le seuil de la petite rosette, elle a poussé un petit « Ah ! » de joie. Je lui ai aussi administré une fessée, bien fermement, comme elle aimait en recevoir depuis qu’elle était toute petite – à cette occasion, elle m’appelait « papa » et suçait son pouce, quitte à se donner en spectacle pour des messieurs qui ne perdaient pas une miette de la scène.

Ensuite, ma douce amie a pris son nouveau vibromasseur, et à nouveau allongée sur sa serviette, les cuisses bien ...