Expérience masturbatoire en public - Histoires de Sexe

Expérience masturbatoire en public

Résumé

: elle est belle et son fantasme est de caresser nue en public.

Au cours d’une nuit de tendresse, ma très chère Gabrielle, que j’avais rencontrée quelques mois plus tôt sur une piste de danse, m’avait avoué sur l’oreiller son fantasme de toujours : se masturber en public, complètement nue, sous le regard d’inconnus qui s’abstiendraient de la toucher – elle ne tenait pas plus que cela à se trouver au centre d’un gang-bang ; cependant, ils pratiqueraient l’onanisme de concert avec elle et arroseraient sa peau découverte avec leur semence brûlante. Elle s’était elle-même caressée en me racontant cela, et son vagin déjà rempli de ma semence ruisselait d’une mouille abondante qui inondait les draps. Mais elle était pudique et n’avait jamais osé passer à l’action.

Pour sa fête, j’avais décidé de lui permettre de mettre ce fantasme en pratique. À cinquante-deux ans, après plusieurs décennies d’hésitation, il était temps pour elle de passer à l’action, autrement elle l’aurait regretté dans ses vieux jours. Je connaissais une plage libertine où il était admis de se dévoiler complètement et même d’y pratiquer la sexualité de son choix. C’était à la fin du mois de septembre, et même si un léger vent frais balayait le sable, le début de l’automne offrait quelques rayons solaires très agréables sur les peaux intégralement exposées des vacanciers.

Chemin faisant, nous nous tenions la main ; elle serrait fortement la mienne. Elle avait un peu peur et craignait avant tout ...

... d’être jugée par des observateurs impitoyables pour la cellulite de ses cuisses et ses rondeurs de femme mûre. Ce à quoi je lui avais répondu que sa beauté n’appelait aucune critique, que je trouvais son corps merveilleux et qu’il n’était pas indispensable de ressembler aux mannequins des magazines pour se montrer nue à cet endroit-là, où d’ailleurs peu de jeunes étaient présents. Elle a su dépasser son appréhension, m’a fait confiance et m’a suivi. C’était un très beau dimanche de fête pour mon ange Gabrielle qui avait soigneusement rasé son sexe pour l’occasion, bien que je lui eusse dit que ce n’était pas nécessaire et qu’elle le faisait pour elle et non pas pour les autres. Elle s’était maquillée et parfumée comme pour un mariage – étrange noce charnelle sous un azur parsemé de petits nuages blancs. Quelques couples s’aimaient discrètement, abrités derrière les dunes. Il y en avait de toutes les sexualités : gays, lesbiennes, hétéros, parfois avec de grandes différences d’âge. Cette diversité a rassuré Gabrielle.

Nous avons étendu nos serviettes face à la mer, pas trop près du rivage pour ne pas nous faire surprendre par la marée montante, en pleine visibilité. Il était environ quinze heures. Gabrielle a préféré que je garde mes vêtements, au moins dans un premier temps. La nudité n’était d’ailleurs nullement obligatoire en ce lieu de totale liberté sexuelle. Certains venaient en voyeurs, mais il fallait demander la permission pour prendre des photos. Deux femmes nues, ...