1. Incertitudes hivernales (1)


    Datte: 07/12/2019, Catégories: Hétéro Auteur: fantaflo, Source: Xstory

    ... finesse.
    
    J’y avais tout d’abord découvert sa lourde et généreuse poitrine, de gros seins laiteux qui m’avaient impressionnés, tout comme la taille de son soutien-gorge : 90D. J’étais ensuite resté en admiration devant son ventre plat et sa taille très fine, contrastant avec ses hanches un peu larges. Une petite culotte de cheval sur les hanches, mais rien sur des fesses bien généreuses et rebondies. Le soir de ce premier effeuillage, Jessica avait gardé son string et nous n’avions pas fait l’amour.
    
    Ce n’est ainsi que la semaine suivante qu’elle m’avait dévoilé son sexe tondu de près, un ticket de métro joliment soigné. Dans la foulée, notre premier rapport sexuel avait été maladroit et hésitant. Rapide et frustrant. Néanmoins, j’avais eu le temps d’être saisi par l’intensité et la sensualité débordante dégagés par Jessica lors de ce rapport. Brûlante, cette fille avait le diable au corps et cela augurait des lendemains délicieux.
    
    Le lendemain matin, justement, Jessica m’avait sucé pour la première fois et j’avais pris un pied hallucinant. J’étais son second petit ami et je n’en revenais pas qu’elle me suce avec autant d’habileté et me donne autant de plaisir. C’était loin d’être ma première fellation, mais c’était l’une des plus intenses !
    
    Les premières semaines de notre relation avaient également permis à Jessica de m’habituer petit à petit à sa garde-robe élégante, essentiellement faite de jupes avec chemisiers et de robes. J’avais effectivement été surpris ...
    ... par des tenues qui auraient été plus adaptées à une assistante de direction plutôt qu’à une lycéenne. La maturité de Jessica transpirait à travers ses vêtements.
    
    Et puis, il y avait eu ce dimanche pluvieux de fin janvier 2002. Cela ne faisait pas tout à fait trois mois que nous étions ensemble. Nous étions seuls chez elle, ses parents étaient partis en week-end avec sa petite sœur. Nous venions de faire l’amour et, avec sa permission, j’avais ouvert sa commode de dessous. J’avais trouvé le porte-jarretelles tout au fond du dernier tiroir, dissimulé derrière une boîte en carton :
    
    — Oh ! C’est à toi, ça ?
    
    — Oui...
    
    — Tu l’as déjà mis ?
    
    Jessica avait immédiatement rougi.
    
    — Oui, oui...
    
    — J’adore. Et j’adorerais te voir dedans.
    
    Elle m’avait regardé curieusement durant un instant avant de se lever précipitamment.
    
    — Tu aimerais que je le porte juste une fois ou... ou plus régulièrement ?
    
    Elle était si hésitante, j’avais éclaté de rire et j’en avais plaisanté :
    
    — Tous les jours ! Ce serait juste un rêve !
    
    C’est à ce moment-là que j’ai compris que Jessica avait quelque chose à dire. Elle ne riait pas. J’avais attendu quelques secondes. Jessica semblait désemparée. Elle s’était finalement lancée :
    
    — Florent, il faut que je t’avoue quelque chose.
    
    — Oui ?
    
    — En fait, le porte-jarretelles, je le mets régulièrement depuis un an environ. Personne ne le sait, ni ma mère, ni ma meilleure amie. Je...
    
    Elle baisse les yeux, visiblement émue, avant de ...