Mémoires pseudépigraphiques
Datte: 06/12/2019,
Catégories:
confession,
amourpass,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... plein d’autres variantes que de passer tous les endroits que je viens de citer. Quand il s’agit de faire des cochonneries, les êtres humains ont en général beaucoup d’imagination ! Et côté imagination, je me débrouille pas mal… Finalement, une queue, on arrive à la planquer partout, sur et dans le corps d’une femme.
J’ai été un rude queutard, et je reste un bon queutard, malgré les années qui passent. Hélas, je fais moins d’exploits que quand j’avais vingt ou trente ans, mais une femme qui entre dans mon lit en ressort toujours ravie, car je mets un point d’honneur à l’envoyer au septième ciel et encore plus haut ! Indubitablement, les femmes aiment quand on s’occupe d’elles et quand elles finissent épuisées, alanguies, repues et rompues, dans un lit totalement dévasté, blotties comme le mâle qui leur a donné tant de jouissance. Un cliché macho et éculé ? Et alors, ça change quoi au plaisir qui a été donné et qui a été pris ? Il ne faut pas vous faire d’illusions : la plupart des femmes adorent, au fond d’elles-mêmes, être des petites choses qu’on protège tel un preux chevalier et dont, en même temps, on abuse joyeusement dans une débauche de jouissance et de cris d’extase.
Et puis, tel un coucher de soleil, quoi de plus beau et de plus flatteur qu’une femme rassasiée de sexe qui ronronne de plaisir et de contentement ?
En parlant de ça, je me souviens d’une fois où j’ai baisé en levrette une belle gourmande qui continuait à déguster sa glace au café au rythme de ...
... mes coups de queue en elle. La situation m’avait excité un max, et je lui ai réglé son affaire en déployant toute ma science. Elle a royalement joui, de la glace au café en bouche, sans avoir fini sa coupe tandis que je m’occupais de sa croupe ; et je vous prie de croire qu’elle a pris son content de crème chantilly dans sa chatte qui n’en pouvait plus !
Et la pipe chaude et froide qu’elle m’a offerte ensuite a été un grand moment de ma vie !
Des grands moments de ce style, j’en ai vécus d’autres, et j’espère bien en vivre encore bien d’autres. Je n’ai peut-être plus beaucoup de fantasmes à assouvir, mais je ne déteste pas remettre le couvert plusieurs fois. Avec ma femme, j’ai sans doute épuisé tout le catalogue des positions – même les plus acrobatiques – ainsi que diverses perversions, sans me lasser de recommencer ; elle aussi, d’ailleurs ! Et pas qu’avec ma femme, je l’avoue… Mais quand elle était encore de ce monde, elle était tellement… comment dire… « salope dans le bon sens du terme » que je ne voyais pas pourquoi j’aurais dû aller voir ailleurs. Contenter une telle femme était déjà plus que largement suffisant, même pour un queutard comme moi. Et une bonne chienne vaut mieux que deux tu l’auras !
Comment ça, un manque de respect ? C’est purement affectif, même si les mots sont crus. Et ça ne me gêne absolument pas de dire que certaines femmes sont d’adorables putains, surtout si je peux profiter de leurs charmes et de bien plus que ça.
Je ne veux pas jouer ...