Mémoires pseudépigraphiques
Datte: 06/12/2019,
Catégories:
confession,
amourpass,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... n’existait pas. Tout au plus, on pissait des lames de rasoir pendant quelques jours, on avalait des antibiotiques, on trempait sa nouille ramollie dans un verre de lait, et une fois guéri, c’était reparti pour un tour ! Quant à l’absence de pilule contraceptive, il fallait bien calculer son coup et éviter la période de fécondation afin de ne pas avoir une petite surprise braillarde neuf mois plus tard. Sinon, il restait bien d’autres façons d’expulser son trop-plein : bouche, seins, trou du cul et j’en passe…
Ah, la bouche… Des lèvres chaudes et sensuelles, une langue agile ! J’adore quand ma bite est choyée de cette façon ; ça vaut largement une bonne chatte bien humide. Et comme je ne baise qu’avec des belles salopes, quel délice de les voir avaler goulûment mon sperme chaud ! Sans parler de leurs lèvres luisantes et leur menton dégoulinant. Sans parler aussi – et surtout – du petit sourire pervers qu’elles ont sur leur beau visage radieux quand c’est ainsi… Un vrai régal ! Ça vous choque, cette fascination à ce que ma semence soit dégustée comme on boit un bon vin ? Moi, pas du tout. Je passerais bien mon temps à nourrir de mon bon sperme tout un harem !
Ah, les seins… La cravate de notaire, la branlette espagnole ! Oui, je sais, il faut se dénicher une femme avec ce qu’il faut au balcon, et malheureusement toutes ne sont pas pourvues dans le soutien-gorge. Mais quand on a affaire à une belle dévergondée aux lourds nibards, c’est divin de laisser son mandrin être ...
... emprisonné entre ces deux belles masses de chair, masses tièdes et voluptueuses ! Puis jaillir tel un petit geyser pour voir son sperme retomber sur ces nichons qui, de rose, deviennent luisants, je ne vous dis pas ! Sans parler qu’il n’est pas rare de se faire offrir ensuite un agréable petit nettoyage buccal et labial.
Ah, le trou du cul… Cette rondelle sombre, ce puits mystérieux ! Il faut le dire : c’est moins facile à trouver, une femme qui accepte de se faire royalement enculer. Mais comme j’ai toujours préféré les femmes un peu salopes, voire très salopes, je n’ai pas trop de problèmes à satisfaire cette privauté. Bien sûr, on ne rentre pas par derrière comme on rentre par-devant. Il n’y a que les petits cons pour croire tout ce qu’on voit dans les films X. Devant, c’est lubrifié ; pas derrière. Donc, faut mettre la main à la pâte, si j’ose dire ! Mais les préliminaires du cul sont très excitants, sauf si on est un maniaque de la propreté et de l’eau de Javel ! Ah, bien sûr, si on s’évanouit à la moindre tache brune, c’est mal parti ! Et les lavements, c’est bien beau, mais ça casse le rythme et la spontanéité de la chose… N’empêche que voir un trou du cul dégouliner de sperme, ça vous fait quelque chose ! Je ne saurais pas bien l’exprimer, mais moi, ça m’émeut, même si ce n’est peut-être pas le terme approprié. Oui, ça m’émeut…
Remarquez, une chatte qui déborde du sperme qu’on vient d’y mettre, c’est beau aussi ; beau comme un coucher de soleil…
Et puis, il y a ...