Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (54) : le cinéma, lieu insolite.
Datte: 05/12/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Olga T, Source: Hds
... dialogues sont cultes. Fez a déclenché le fameux Déclic. Claudia a la main dans le pantalon de son voisin et le branle avec la main droite, tout en fixant l’écran et en donnant l’autre main à Arnaldo. Le type lui demande « « Et avec l’autre main, tu fais une branlette à ton pédé de mari ? » Puis : « Ça suffit, la veuve poignet. Cocotte, fais-moi une pipe. » Prétextant qu’elle doit ramasser son mouchoir, Claudia s’exécute avec zèle. Le type tient la tête de Claudia : « Vas-Y ! Vas-y ! Vas-y ! Je vais te faire avaler mes couilles ! » Arnaldo, qui n’a rien compris, demande à Claudia si son voisin l’importune ! Puis « Arrête toi, petite pute, maintenant lève-toi et va contre le mur. Dépêche ! » Claudia prétexte qu’elle doit aller aux toilettes.
Arnaldo suit et demande au type de laisser sa femme tranquille ! La réponse est sans appel : « Ta gueule, connard ! Tu veux que tout le monde sache que je casse le cul de ta bonne femme » Arnaldo, décalé, se rend compte qu’elle est consentante. En fait, vierge de ce côté, serrée, étroite, elle résiste, jusqu’à ce que Fez pousse à fond le déclic. Claudia se laisse alors complétement allée et prend son pied, alors qu’Arnaldo jouit dans son pantalon, sans même se toucher !
Claudia m’a fasciné, autant sinon plus qu’Emmanuelle car avec les textes, il y avait les images, ce qui fut pour moi particulièrement instructif dans mon apprentissage sexuel.
PASSAGE A L’ACTE
Et pourtant, paradoxalement, alors que j’avais ce fantasme en tête ...
... depuis mon adolescence, je ne l’avais jamais réalisé, avant de connaître Rachid.
Certes pas par timidité, ni par pudeur, ce n’est pas mon genre, simplement parce que l’occasion ne s’était jamais présentée. Cela aurait pu être avec Philippe (et ça l’est désormais souvent quand nous allons au cinéma où je pratique sur lui une fellation plutôt que de suivre le film), mais à ce moment, je n’osais pas, soucieuse de la réputation de mon mari (je sais, ça fait sourire, sachant ce qui s’est passé ensuite) et de ne pas aller dans le sens vers lequel il ne cessait de me pousser.
Comme je l’ai raconté dans le chapitre 11 (paru le 11 janvier 2017), très vite après qu’il soit devenu mon amant, Rachid et moi sortions en ville, enlacés. Nous nous embrassions publiquement. Rachid avait encore renforcé mes tendances à l’exhibitionnisme, qu’avait déjà encouragées Philippe. Rachid voulait que je sois maquillée à outrance, portant des pantalons serrés ou des jupes « ras la touffe ». Il veillait particulièrement à ce que je ne porte jamais ni culotte ni string et que mes seins soient presque visibles.
Lorsqu’il m’amenait au restaurant, dans un cinéma, il y avait forcément un passage par les toilettes pour me baiser ou pour que je le suce. De ce point de vue, pour Rachid, le cinéma était un endroit comme un autre pour disposer de mon corps comme il en avait envie.
Les deux autres expériences que j’ai vécues se sont déroulées dans la période où j’ai repris la vie commune avec Philippe, ...