Souvenirs mélancoliques et bucoliques
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
fhh,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
fsodo,
journal,
nostalgie,
Auteur: Adonis, Source: Revebebe
... et on devinait les mamelons qui pointaient. C’était parfait.
Je me présente chez eux vers huit heures, un peu gênée finalement d’être aussi courtement vêtue. Nous prenons l’apéro, et l’alcool, comme d’habitude, me monte vite à la tête. La gêne s’estompe pour faire place à nouveau à une douce chaleur au bas de mon ventre. Pendant le repas, je mets en valeur mes atouts, j’adopte des positions provocatrices et laisse voir ce je n’ai pas l’habitude de montrer… Je laisse mes seins se balancer et découvrir leur naissance. Je me penche, cambre mes fesses… Le vin et leur regard pénétrant m’enivrent. Je me dis que maintenant, les dés sont jetés. Ils me désirent et je les veux.
Je suis chez eux, prête à consommer et à me faire consommer. J’offre ma croupe et mes seins à leurs yeux qui brillent. Le vin me fait tourner la tête. Je deviens de plus en plus impudique et les deux frères boivent plus que de coutume. Je sens qu’ils ont du mal à canaliser leurs envies. J’ai envie qu’ils posent leurs mains sur moi, qu’ils me déshabillent. C’est Pierre qui cède en premier. Je suis assise sur ses genoux et je sens son sexe dur sous mes fesses, à travers le pantalon. J’expose mes seins bombés et les colle presque contre son visage. Il en sort un et le caresse. Je me laisse faire et le regarde dans les yeux. Il l’embrasse et le mordille et je me sens fondre. Il m’entraîne dans sa chambre. Jean nous suit. Il me jette sur le lit.
Tous deux ont le regard fiévreux et se déshabillent. Je vois ...
... leur sexe jaillir, luisant d’envie, obscène et déjà bandé. Ils sont beaux et musclés. À la fois doux et impatients, ils me dénudent complètement. Je sens leurs mains, leurs bouches qui explorent toutes les parties de mon corps. Je les caresse moi aussi, je griffe, je prends leur verge dans ma main. Tous trois sommes désormais hors de contrôle. Je n’ai jamais aussi bien fait l’amour. Je suis endiablée. Je prends leur queue dans ma bouche, les suce, lèche, j’écarte mes cuisses impudiquement, je m’ouvre, je fonds… Deux beaux sexes pour moi, mon corps pour eux. Je me mets à quatre pattes pour me faire prendre. Ils passent à tour de rôle. Leur bite me pénètre, m’emplit et me fait jouir. Dans ma bouche, je les cajole, entre mes doigts, je les branle, entre mes cuisses, ils vont et viennent.
Nous avons fait l’amour pendant quatre heures et je ne sais combien d’orgasmes. Malgré la taille de leur pénis, même la sodomie, qui m’avait toujours fait peur, a été agréable et m’a fait jouir. Je voulais les sentir entre mes fesses, entre les lèvres de mon sexe et de ma bouche. Je voulais qu’ils me possèdent entièrement. Quand nous avons eu fini, j’avais du sperme partout : bouche, visage, sexe, raie des fesses, cuisses… J’étais bien, j’étais leur reine, ils n’avaient d’yeux et d’envie que pour moi. J’ai dormi avec eux, entre eux deux, leurs mains posées ou parfois caressantes sur moi.
Voilà, il est temps pour moi de partir. Nous avons passé une nuit magnifique, un réveil aussi, plein de ...