Souvenirs mélancoliques et bucoliques
Datte: 17/01/2018,
Catégories:
fhh,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
fsodo,
journal,
nostalgie,
Auteur: Adonis, Source: Revebebe
Amandine a perdu sa grand-mère. Elle décide d’aller passer trois jours, seule, dans la maison de famille. Elle veut retrouver la douceur de ses souvenirs d’enfance et faire le point sur sa vie. Elle n’a pas d’enfant, elle n’aime plus son mari et l’a quitté il y a maintenant quatre mois. Elle a aujourd’hui 33 ans, et cela fait vingt ans qu’elle n’est plus revenue ici.
Voilà, je suis enfin arrivée. La route a été longue, j’ai des courbatures et il commence à faire très chaud pour un mois de juin. J’ai retrouvé avec bonheur la petite route qui monte jusqu’au village, les forêts à perte de vue… Apparemment rien n’a changé. C’est toujours aussi joli. Les corps de fermes sont magnifiques même si, depuis quelques années, il n’y a plus personne pour les entretenir. On dirait qu’ici le temps s’est arrêté. Mon père m’a dit qu’il ne restait plus dans le village que Pierre et Jean, deux frères qui doivent approcher la cinquantaine. Leur maison est juste en face de la nôtre. Le temps de sortir mes bagages et d’ouvrir la maison pour l’aérer, les deux frangins arrivent. Ils doivent venir du jardin. Je suis très contente de les revoir. Les retrouvailles sont gaies, sincères et nous sommes émus. Ils ont vieilli un peu. Ce sont maintenant deux hommes dans la pleine force de l’âge. Eux, sont encore plus étonnés. La petite Amandine est devenue une femme et je sens leur regard évaluer les formes et les courbes qui, depuis, ont poussé. Je ne leur en veux pas. Deux vieux garçons qui n’ont pas ...
... le loisir de voir souvent de femme…
Bien que j’aie grandi, Pierre, l’aîné, m’impressionne toujours. Il a encore la stature imposante et un corps musculeux. Avant, je n’étais pas sensible à ça, mais il se dégage de lui une virilité brute. Je me dis qu’avec ce corps, cette gentillesse et son visage buriné, bien des femmes tomberaient sous le charme. Jean est de deux ans son cadet. Il est moins imposant que son frère, mais lui aussi très bien foutu. Il est doté d’une musculature beaucoup plus fine. Dans sa façon de se déplacer, de bouger et de parler, il est toujours empreint d’une certaine classe innée qui lui confère des allures de dandy. Il a gardé un visage juvénile et un sourire qui fait craquer. J’ai envie de le prendre contre mes seins et de le cajoler. Toujours aussi gentil, toujours aussi prévenant : c’est un gentleman bucolique et un dragueur impénitent qui ignore combien il peut être attirant.
Je les invite à manger à la maison ce soir. Ils sont contents. Moi aussi. Je retrouve la maison de grand-mère, la cour, les bâtiments. Comme dans le bon vieux temps, après être allée me doucher, je lave mon linge au lavoir et le mets à sécher dans le jardin. Pour finir la journée, j’ai opté pour un mini-short moulant et un top tout aussi moulant que léger. Pas de soutien-gorge, ici je peux libérer ma poitrine. Tant pis si les deux frères me lorgnent. J’ai envie d’être à l’aise et ils ont droit de se rincer l’œil, eux qui ne voient presque jamais personne.
Pierre et Jean ...