1. L'amour des voitures


    Datte: 02/12/2019, Catégories: fh, amour, vengeance, vidéox, Oral 69, pénétratio, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... Tandis qu’elle se déshabille, elle poursuit :
    
    — Mais ce ne sera pas pour lui obéir, ce sera parce que je le désire.
    
    Elle s’assoit sur ses genoux et l’embrasse de nouveau. Les mains de Bernard ne restent pas inactives. Seins et minou de Nathalie profitent de ses prévenances. Quand leurs lèvres se séparent, elle entreprend de mettre Bernard dans la même tenue qu’elle. Sans rechigner, il participe à l’opération. Puis, entraînant Nathalie sur ses genoux, il se laisse tomber sur le canapé, qui gémit sous l’impact. Un nouveau baiser les réunit. Les doigts de Bernard viennent jouer dans les poils de la belle, puis s’égarent entre les lèvres et débusquent le bouton qui réagit favorablement aux sollicitations, si favorablement qu’elle prend son plaisir.
    
    Elle se laisse aller à se lover contre Bernard, ronronnant presque, dans une douce torpeur. Reprenant pied, elle s’avise qu’elle pourrait s’occuper de lui. Elle l’enfourche et fait disparaître le sexe dressé dans son intimité. De nouveau, le canapé gémit. Sous la cavalcade, il regrette Didier, non parce qu’il est son propriétaire, cela lui importe peu, mais parce qu’il est beaucoup moins lourd. Il n’en peut mais, ce que femme veut, surtout quand c’est dans sa chatte… Il n’est pas le seul à gémir, Nathalie lui fait écho. Leurs gémissements vontcrescendo. Ceux de Nathalie se terminent par un cri rauque, tandis qu’elle s’immobilise. Alors qu’elle l’embrasse goulûment, elle sent Bernard se vider en elle. De nouveau elle pense ...
    ... qu’ils n’ont pas pris de précaution. Elle s’en fiche, Bernard ne doit pas courir et elle prend la pilule. Elle reste sur lui à l’embrasser. Et pourquoi en rester là. Une pipe lui paraît une bonne continuation. Elle s’y attelle avec entrain. Il l’arrête une dizaine de minutes plus tard :
    
    — Prenons notre temps. Faisons une petite pause.
    
    D’entendre parler de temps fait jeter à Nathalie un coup d’œil à la pendule :
    
    — Il est déjà cette heure-là. Didier devrait être rentré, votre pavillon est à moins de vingt minutes.
    
    Bernard sourit :
    
    — Primo, je crois que tu pourrais me tutoyer. Secundo, Didier est encore dans mon sous-sol.
    — Comment le savez… euh… Comment le sais-tu ?
    — Parce qu’il ne peut en sortir.
    — Comment ça ?
    — Quand on a une collection comme la mienne, on prend quelques précautions. En cas d’intrusion au sous-sol, les portes se bloquent. Et un message m’est envoyé. En cas de non-réponse de ma part, ça part vers la police. Comme je ne pense pas que Didier soit un cambrioleur expert, il doit toujours y être. Quant à l’armoire des médailliers, elle n’est pas non plus à ce niveau.
    
    Bernard s’empare de son Smartphone, pianote quelques secondes. Et montre l’écran à Nathalie. Sur celui-ci, on voit Didier dans le sous-sol, prostré. Brusquement, il se lève et secoue la porte comme un enragé. Bernard pianote et la porte s’ouvre. Surpris, Didier en part à la renverse et se retrouve sur le cul. Il se dresse d’un bon et sort comme une flèche.
    
    — Voilà, dans un quart ...
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