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L'amour des voitures
Datte: 02/12/2019, Catégories: fh, amour, vengeance, vidéox, Oral 69, pénétratio, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... en vain. C’est tout juste s’il ne la frappe pas. Il part en emportant les clés de Bernard. Sur le seuil de la porte, il lâche entre ses dents : — Fais comme si de rien n’était. Finissez le dîner, je reviens le plus vite possible. Je te fais confiance. Tu trouveras facilement ce qui lui fait plaisir pour qu’il ne veuille pas partir, tu verras. Elle est effondrée. Quand elle revient dans la salle à manger, elle a presque les larmes aux yeux et fonce directement dans la cuisine. Elle s’assoit sur une chaise en tremblant de tout son corps. Elle finit par se ressaisir. Elle apporte le poulet au riesling. En la voyant, Bernard s’inquiète : — Cela n’a pas l’air d’aller. — Ce n’est rien, un peu de fatigue. Elle a bien du mal à assurer son rôle d’hôtesse. Tandis que Nathalie va chercher le fromage, Bernard reçoit un message sur son Smartphone. Il le consulte et a l’air perplexe et répond. Après le fromage et le dessert, voyant Nathalie toujours aussi perturbée, il lui annonce qu’il ne va pas la fatiguer plus longtemps. Brusquement, elle s’affole encore plus. — Non ! Vous ne pouvez pas partir déjà. Vous devez attendre Didier. — Je vois que tu n’es pas bien. Je ne vais pas t’importuner davantage. — Vous devez rester ! — Pourquoi est-il si important que je reste ? Nathalie ne sait plus ce qu’elle doit dire, ce qu’elle doit faire. Elle éclate en pleurs et répète presque mécaniquement : — Vous ne devez pas partir ! — Qu’est-ce qui ne va pas ? Brusquement ...
... Nathalie craque et entre deux sanglots, elle explique à Bernard le projet de Didier en insistant malgré tout, sur le fait que Didier a l’intention de restituer les pièces. Bernard lève les yeux au ciel : — Toutes ces conneries pour une voiture. C’est vraiment un imbécile. Il prend Nathalie par les épaules : — Je me suis tout de suite rendu compte qu’il y avait quelque chose qui clochait. Didier était excité comme une puce et toi à la fois absente et nerveuse. Quand le téléphone a sonné et qu’il a annoncé qu’il devait partir, j’ai cru que tu allais avoir une crise de nerfs. Comment ne s’en est-il pas aperçu ? Assieds-toi, je vais chercher un petit remontant. Nathalie se laisse tomber plutôt qu’elle ne s’assoit sur le canapé. Depuis qu’elle a fini ses aveux, toujours en pleurs, elle est incapable de prononcer un mot. Bernard revient avec un verre de cognac généreusement servi et une boîte de mouchoirs. Elle s’empare du verre et commence à le vider. Il l’arrête : — Doucement, ce n’est pas du jus de fruit. Prends plutôt un mouchoir. Elle en use une bonne demi-douzaine. Encore secouée de sanglots : — Je suis désolée… Je suis désolée… Après votre accueil… C’est… C’est impardonnable. — Calme-toi. Respire. — Me calmer ! Je n’oserais même plus me regarder dans un miroir… Il faut aller chez vous le stopper. Elle se lève comme mue par un ressort. Il l’arrête : — Assieds-toi. Inutile de courir en tous sens, il va finir par revenir. Explique-moi ce qu’il t’a ...