1. Alicia et son papa (9)


    Datte: 02/12/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... sur le visage.
    
    — Mauvaise réponse, connasse, tu es une pute stupide. Tu as compris ?
    
    — Oui ! Oui Monsieur, je suis une pute stupide… Oh, j’ai mal.
    
    — Ce soir, tu demanderas à ton père de te mettre les godes suivants. Une pute comme toi doit avoir les orifices bien dilatés pour pouvoir recevoir toutes les tailles de bites. Tu as compris ?
    
    — Oui Monsieur.
    
    — Parfait, alors. Monsieur Rodriguez, nous pouvons y aller ?
    
    — Oui, dès qu’elle m’aura taillé une pipe. Pendant ce temps, trouve-lui une tenue de pute dans la réserve.
    
    Une demi-heure plus tard je montai dans la Lexus du patron, les amygdales tapissées de sa semence et un peu douloureuses. Il avait empoigné sans douceur mes oreilles et pilonné ma gorge sans se soucier des plaintes et autres borborygmes que je pouvais émettre, m’insultant sans discontinuer jusqu’au moment où il s’était répandu dans ma cavité buccale.
    
    Assise dans la voiture, je reprenais lentement mon souffle en examinant la tenue que j’avais dû passer sans avoir le temps de la détailler : une micro jupe en tissu noir moulant et un débardeur rouge en mailles ajourées. Que je portais sur la culotte de contention, bien sûr ! J’avais laissé mes vêtements et mon sac à main dans le bureau du patron, avec mes tennis. J’avais les pieds enfermés dans des escarpins en cuir noir verni aux talons si hauts que j’avais eu du mal à marcher jusqu’au parking.
    
    Après une demi-heure de route, Hamid s’est arrêté dans la cour intérieure d’un manoir. Babacar ...
    ... s’est tourné vers moi et m’a expliqué :
    
    — Nous sommes chez le patron. Sa femme a demandé à rencontrer la nouvelle pute pour l’essayer. Nous viendrons te chercher quand elle en aura fini avec toi. Je te préviens : madame Rodriguez est très riche et très exigeante. Tu as donc intérêt à faire tout ce qu’elle te demande, et à la satisfaire. Sinon tu le regretteras. Compris ?
    
    — Oui. Merci. Monsieur.
    
    Il parut satisfait de ma réponse ; je sortis de la voiture qui démarra aussitôt, me laissant devant le perron que je gravis, incertaine sur la conduite à tenir. Non pas que j’envisage de fuir : accoutrée comme une pute, les orifices emplis de gros godes, je n’avais pas d’autre solution que de sonner et voir venir. Je m’apprêtai à frapper sur la porte quand elle s’ouvrit ; dans la pénombre de l’entrée, je distinguai à peine un homme grand et maigre en costume noir. Il me toisa lentement et afficha une moue méprisante qui me mit mal à l’aide. Encore plus que précédemment, je veux dire.
    
    — Vous devez être la pute que Madame attend. Entrez. Si je puis me permettre… Vous être majeure ?
    
    — Enfin, Georges, ça ne vous regarde pas, claironna une voix féminine haut perchée. Faites entrer la pute sans commentaire. Mais pas la peine d’être poli avec elle, ce n’est qu’une raclure de bidet, après tout.
    
    — Bien, Madame. Entre, souillon !
    
    Le cœur gros soudain, je m’avançai en regardant le sol carrelé en vieux marbre. Georges m’escorta dans un salon attenant où attendait sa patronne, ...