1. Alicia et son papa (9)


    Datte: 02/12/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    Le lendemain matin je n’arrivais pas à m’asseoir sur la selle de mon vélo tellement les deux godes bien trop épais me gênaient. Papa m’avait sodomisée juste après ma douche et avait aussitôt enfoncé un des énormes engins dans mon anus pour empêcher son sperme de ressortir. Comme il avait été brutal et m’avait pilonnée pendant plusieurs minutes avant de se vider, mon pauvre petit cul avait sévèrement chargé.
    
    Cette fois, j’eus à peine le temps d’entrer dans les vestiaires du magasin que Babacar m’appelait.
    
    — Viens avec moi, la pute. Monsieur Rodriguez t’attend.
    
    Déjà ? Je suivis avec crainte le vigile ; il me fit entrer dans le bureau du patron qui lisait le journal, tranquillement assis dans son fauteuil.
    
    — Fous-toi à poil, vite.
    
    Décidément, ça démarrait fort ce matin. J’enlevai mon tee-shirt et le pliai soigneusement avant de dégrafer mon soutien-gorge. Puis je délaçai mes tennis, ôtai mon jean et mes chaussettes. Je me redressai alors, uniquement vêtue de la culotte en néoprène que je ne pouvais enlever toute seule.
    
    — Comment tu trouves tes jouets ? demanda monsieur Rodriguez. Ils te plaisent ?
    
    — Ils me gênent beaucoup, Monsieur, répondis-je prudemment.
    
    Je reçus une gifle si violente que je m’étalai durement par terre La joue gauche en feu et le goût du sang en bouche, je me mis à pleurer sans oser me relever ; c’était Babacar qui m’avait giflée, maintenant il se contentait de me regarder méchamment.
    
    — Quand tu vois monsieur Rodriguez, tu lui dis ...
    ... bonjour poliment. Debout, vite.
    
    En reniflant, je me relevai lentement et tâtai mon coude douloureux d’une main et ma pauvre joue. Puis je dis d’une voix brisée :
    
    — Bonjour, monsieur Rodriguez.
    
    — Alors tu n’aimes pas ton cadeau ?
    
    Je lançai un regard craintif sur le vigile qui se tenait debout, impassible, à deux mètres de moi. Je ne doutai pas qu’il pouvait me frapper à nouveau si je ne répondais pas poliment.
    
    — Si, Monsieur. J’aime bien, mais il me faut m’habituer. Les godes sont un peu gros, et…
    
    — Tu les trouves trop gros ? Tu sais que bientôt tu vas en porter qui te feront regretter ceux-là ? Tu as envie d’essayer la taille au-dessus, pour voir ?
    
    — S’il vous plaît, pleurnichai-je. Je ne pourrai jamais… Monsieur, ajoutai-je en protégeant mon visage du bras, car Babacar s’apprêtait à me gifler à nouveau.
    
    — Connasse, tu n’es pas polie, malgré mes remarques. Enlève ton bras, les mains dans ton dos, vite, ordonna le vigile. Tu entends ? Vite, sinon ça va mal se passer.
    
    Vaincue, je croisai les mains sur mes reins et restai immobile, la respiration oppressée. Babacar s’approcha devant moi, sa main gauche saisit mon menton et me fit lever la tête jusqu’à ce que mes yeux se plantent dans les siens. Puis il empauma mes seins et fit rouler mes tétons.
    
    — On dirait que tu ne comprends pas bien. Tu dois être stupide, dans ce cas. Dis-moi, tu es une pute stupide ?
    
    — Non, c’est pas… Aïe, Aah !
    
    Il tordait mes tétons entre pouce et index, un dangereux rictus ...
«123»