1. Ma première fois avec un mâle


    Datte: 02/12/2019, Catégories: hh, hplusag, jeunes, grossexe, hsoumis, hdomine, Oral hdanus, hgode, coprolalie, hsodo, sm, gifle, init, québec, totalsexe, inithh, Gay hsoumisah, Auteur: JF, Source: Revebebe

    ... me savonne, encore un peu secouée par les assauts que j’ai subis, j’expulse la semence que mon mâle viril a valeureusement déposée en moi, et tâte mon anus pour évaluer les dommages qu’il a subis. À ma grande surprise, il est encore tout ouvert, mais pas douloureux. Les quelques attouchements que j’effectue me font à nouveau bander et une dizaine de va-et-vient sur ma queue, en plus de quatre de mes doigts fichés dans mon trou béant, suffisent à me faire jouir.
    
    Je ressors ensuite de la salle de bain et me dirige vers le lit. La lumière est toujours allumée, mais Monsieur ronfle déjà, ce qui me fait penser qu’il ne disait pas tout à fait la vérité en disant qu’il me défoncerait toute la nuit. Peu importe, je me blottis contre son corps chaud et puissant. Après quelques minutes passées à relaxer dans la pénombre suite à nos récents ébats, je sens ma main, comme mue par une volonté que je ne contrôle pas, descendre lentement vers l’entrejambe de Monsieur. Instinctivement, je fais rouler doucement les couilles que je trouve entre mes doigts.
    
    Mes caresses sur ses couilles finissent par produire leur effet et je sens bientôt la queue de Monsieur reprendre du volume et de la vigueur, en même temps que son scrotum se contracte. Je suis satisfaite de constater que même s’il dort, je parviens à l’exciter assez pour le faire bander. Ça peut paraître un peu ridicule, mais j’en retire une grande fierté ! Après quelques minutes de ce traitement, Monsieur pousse un grognement ...
    ... d’homme irrité d’être dérangé dans son sommeil et se tourne sur le dos en éloignant les draps de lui, ce qui me donne libre accès à sa queue à moitié bandée et à ses couilles pendantes. Les yeux de Monsieur sont toujours fermés, mais sa respiration est moins régulière qu’auparavant, signe qu’il ne dort peut-être plus ou, en tout cas, plus aussi profondément.
    
    Je glisse alors ma tête sur ses abdominaux et, sans cesser de masser doucement les couilles de mes doigts, titille de ma langue le gland qui s’offre à moi. Je m’amuse à essayer de pénétrer son œil de cyclope, à glisser ma langue entre son gland et la peau qui le recouvre encore partiellement, puis, une fois le gland décalotté par une érection grandissante, j’en lèche les contours comme je le ferais avec une glace pour éviter qu’elle fonde. Je me mets ensuite à caresser la colonne de chair avec mes lèvres, y déposant des dizaines de baisers en signe de ma vénération pour cet engin de plaisir. Sans avertissement, des mains se saisissent alors de ma tête et me forcent à avaler la bite désormais bien droite de Monsieur. Je réalise assez rapidement que ses mains puissantes ne font que me maintenir la tête au-dessus de sa queue et que celle-ci coulisse entre mes lèvres grâce à de vigoureux coups de bassin de mon mâle.
    
    — Tu as voulu m’exciter, petite pute, alors prépare-toi à encaisser ! Je vais tellement te démonter la gueule que tu ne pourras même plus parler quand j’en aurai fini avec toi ! Tu vas couiner comme la chienne ...
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