Ma première fois avec un mâle
Datte: 02/12/2019,
Catégories:
hh,
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Oral
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inithh,
Gay
hsoumisah,
Auteur: JF, Source: Revebebe
Ce soir j’ai rendez-vous chez lui. Sa femme l’a quitté depuis plusieurs mois déjà et, pour employer un euphémisme à saveur romantique, on pourrait dire qu’il se sent assez seul. Ses propres mots étaient cependant bien plus crus : « J’ai bien besoin de me vider les couilles. » C’est une des choses qu’il m’a avouées lors de nos conversations sur un site internet. Voici d’ailleurs de brefs extraits tirés de nos échanges, question de donner une idée des rapports virtuels que nous avons entretenus avant la rencontre de ce soir :
Première discussion :
Après plusieurs autres conversations sur le même ton, au cours desquelles j’ai notamment appris qu’il avait quarante-cinq ans (j’en ai vingt-deux), qu’il était récemment divorcé et sans enfant, cinq jours ont passé sans que j’aie de nouvelles de lui ou de réponse à mes messages. Jusqu’à ce que :
***
C’est ainsi que je me retrouve à appuyer sur le bouton de sonnette d’un bungalow de banlieue, avec un plug planté dans les fesses depuis près d’une heure, soit le temps qu’il m’a fallu pour arriver jusqu’ici en autobus. Je suis tellement fébrile que je peine à rester en place devant la porte en attendant que celle-ci s’ouvre. Et ce plug ne fait rien pour arranger les choses. Je le sens qui me chatouille à chacun de mes mouvements. Enfin, la porte s’ouvre et je le vois pour la première fois. Bel homme, d’apparence soignée malgré un début de barbe qui lui donne un air un peu bourru qui n’est pas pour me déplaire, environ ma ...
... taille (1,80 m), mais plus large d’épaules, cheveux poivre et sel, il porte des pantalons noirs et une chemise à manches longues rouge vin, comme s’il revenait tout juste de son travail.
Sans un sourire, il dit :
— C’est bien, tu es à l’heure.
Je devine qu’il a préparé cette phrase et qu’il la retourne dans sa tête depuis quelques heures déjà. Il m’invite d’un geste à entrer à l’intérieur. Pendant que j’enlève mon manteau et mes souliers, nous n’échangeons aucun mot. Une gêne atroce me paralyse et ralentit considérablement mes mouvements. Les mots salaces que nous avons échangés me semblent appartenir à un autre univers et je me demande ce que je suis venu faire ici. Une folle envie de rebrousser chemin me saisit brusquement et je m’apprête à m’excuser lorsqu’il dit, d’une voix grave et calme qui ne souffrirait aucun refus :
— Viens t’asseoir au salon.
Comme un automate, je le suis à travers la cuisine jusqu’au salon où il m’invite à m’asseoir à sa gauche sur le divan. Il me tend un verre d’alcool fort.
— Tiens, bois ça.
Même si son ton est posé, je sais que je n’ai pas intérêt à discuter. Je prends le verre de sa grosse main et le porte doucement à mes lèvres. J’ignore de quel alcool il s’agit, mais la minuscule gorgée que j’avale me brûle la gorge.
— Bois-le au complet. Ça te détendra.
Je me force alors à ingurgiter le contenu du verre et me mets ensuite à tousser plusieurs fois. Lorsque je reprends mes esprits, je réalise qu’il a posé sa main sur ma ...