1. Quelqu ange est passé


    Datte: 01/12/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... selon les cuisses ou les
    
    écartait. Sa chatte n'avait plus trop de secret pour moi. Elle me
    
    signifiait par là que je pourrais en disposer bientôt.
    
    Pris d'une idée soudaine et affectant de regarder l'horloge je dis : «
    
    Vous qu'êtes une spécialiste cela vous dirait de faire le tour du
    
    propriétaire ? J'escompte peut-être vendre un jour. Je voudrais votre
    
    point de vue. » Après que nous fîmes l'extérieur et le jardin, nous
    
    parvînmes aux chambres à l'étage. Là demeurant dans la chambre d'amis,
    
    je vins à lui enserrer la taille. Je prenais un risque. Ce genre de
    
    femme était de force à vous baffer et vous planter là. Elle se laissa
    
    faire pourtant. Son corps était doux et chaud. Coquine elle dit : « Vous
    
    emmenez vos conquêts ici ? »
    
    Mâle assuré et bravache je la fis pivoter et me plongeais dans ses yeux
    
    durs et bleus. Je remarquais qu'elle avait en effet outré le maquillage.
    
    Le rouge à lèvres rendait encore plus charnue et humide sa bouche. J'y
    
    écrasais un baiser. Elle reçut cela avec un relatif détachement. Elle
    
    devait être familière de cela. Sa langue lourde s'enroula autour de la
    
    mienne. J'étais pénétré à la fois du parfum et de la prégnance de sa
    
    chair. Mon cerveau me brûlait. Elle réalisait en même temps l'Enfer et
    
    le Paradis. De toute façon j'étais prêt à me damner pour elle. Elle eût
    
    tout obtenu de moi.
    
    Je ne sais comment elle eût bientôt ma queue dans sa bouche. Elle dit
    
    d'une voix suave : « Relâche- toi mon ...
    ... chéri. Je suis l'Ange. Fais
    
    moi-confiance. » Je fermais les yeux. Je ne me souviens pas d'une
    
    fellation si longue, si appliquée et voluptueuse. On serait mort à
    
    moins. Je fondais. J'y laissais du sperme lequel humectât son bord de
    
    bouche. Elle s'enquit à me déshabiller lentement. Enfonçant son regard
    
    dans le mien, elle poursuivit à me branler doucement comme pour affermir
    
    la verge. Je n'entendais que la mélodie de ses paroles. Non point leur
    
    sens. Je dérivais.
    
    Elle monta sur moi s'empalant sur mon pieu. J'étais ravi introduit dans
    
    une grotte chaude où nageaient mille naïades. Au contraire d'Ulysse
    
    j'étais résolu à rester chez Circé. Peu après plus furieux la tirant par
    
    le cheveu je la pris levrette. Elle avait la croupe magnifique ce que
    
    j'avais perçu très tôt. Je bourrais cette chatte vue et revue à tous
    
    égards. Puis elle cria :
    
    « Prend-moi, Encule-moi ! » Je n’attendais que cela. Je n'eus pas de
    
    peine à lui écarter les fesses. Celles-ci cédèrent facile au bélier.
    
    Elle n'avait cure que mon sexe fut gros. Au contraire.
    
    Nous demeurâmes à baiser jusqu'à midi. Je mis un point d'honneur à lui
    
    montrer ma résistance et mon énergie. Les ans n'avaient eu aucun effet
    
    sur ma libido ce dont elle convint. « T'as un sacré coup de rein chéri.
    
    » Elle fit une toilette hâtive. Balthazar s'était entre temps endormi et
    
    ronflait. Je trouvais cette journée merveilleuse assuré qu'elle
    
    demeurait dans mes souvenirs. Je tins à la ...