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Quelqu ange est passé
Datte: 01/12/2019, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
La crue est assez impressionnante sur les bords de Marne. C'en est déprimant. Régulièrement j'y promène mon chien, Balthazar. Ce simple rituel inaugure ma journée. J'arbore mes soixante piges. Chômeur et futur retraité, je porte beau. J'ai perdu mon épouse il y a deux ans. Je m’en suis remis. A présent et en toute impunité je peux fréquenter ces femmes qui constituaient alors mes maîtresses. Je peux faire cela maintenant au grand jour et grand dam des autres. Époux alors volage cela m'a enlevé pourtant une certaine saveur. Je n'en aime pas moins toujours les jolies femmes. Ce matin-là mon regard fut d'emblée frappé par cette beauté brune. Je ne l'avais jamais vu. Ce devait être une nouvelle personne. Peut-être une voisine ayant aménagé récemment. Je ralentis mon pas. Elle tourna la tête _ elle fumait le cheveu au vent. Elle sourit voyant mon chien. Je reconnais que je recoure souvent à Balthazar pour aborder les dames. Je n’avais d’yeux que pour ces jambes et ces cuisses surtout. Celles-ci étaient croisées. On distinguait avec quelque impudence la naissance des bas et la chair blanche dessus qui affleurait. Quel splendide spectacle. Elle ne pouvait ignorer le trouble qu’elle pouvait susciter et notamment à l'égard de mâles en mon genre. J'eus l'idée un instant que ce pouvait être une prostituée sévissant dans le coin. Puis me ravisant et me fiant à ma longue expérience, je me dis que ce n'était pas la bonne ...
... hypothèse. Que ce devait être une de ces petites bourgeoises en mal de sensations et qui à bon compte avait décidé d'allumer le cochon du coin. Je regardais du reste alentour s'il n'y avait pas quelque paparazzi ou que du moins cela ne constituât pas un piège. On n'est jamais trop prudent. Parvenu à un coude de la rivière, je revins sur mes pas avec Balthazar, rituel immuable . J'allais passer à nouveau devant la belle. Serait-elle toujours là ? Mon cœur battait davantage. Elle était là-bas encore tirant sur sa cigarette. Cuisses sublimes toujours croisées. Je ralentis le pas à dessein. J'escomptais bien que Balthazar suscitât encore son intérêt. Elle sourit en effet à l'enjouement que celui-ci lui témoignât. J'osais alors quelques paroles : « Vous lui faîtes assurément quelque effet. » Mon propos était à dessein leste. Elle n'en prit pas ombrage. Elle lui caressa la tête. Je poursuivis. Je jetais mon regard sans retenue sur ses cuisses. Je tenais à bien marquer aussi mon impudence. On pouvait croire qu'affectée d'une certaine pudeur, elle pourrait alors décroiser ses cuisses ou remonter un peu sa jupe qu’elle avait courte. Au contraire il sembla qu'elle croisa encore plus haut ses cuisses. A présent éclatait la blancheur de cette chair affleurant tout au sommet des bas. Je songeais à la touche d'un peintre. En même temps elle avait imprimé un balancement d'escarpin au bout d'un des pieds. Cela pour me bouleverser et me ...