Après un an de veuvage
Datte: 01/12/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
grossexe,
fête,
noculotte,
Masturbation
Oral
pénétratio,
historique,
Humour
occasion,
bourge,
Auteur: Naipas, Source: Revebebe
... causer, ma famille ne devait jamais savoir ce que je faisais la nuit, et elle ne l’a jamais su : j’ai trop de respect des convenances et pour le renom de mon père pour me permettre de mener une vie de débauche au vu et au su de la bonne société.
Je suis d’ailleurs trop indépendante pour me plier à la discipline d’une maison close, et surtout au bon vouloir des messieurs trop fiers de leur pénis et trop imbus de leur petite personne. Quand j’accepte quelqu’un dans mon lit, c’est parce que je l’ai choisi à la fois pour son esprit, son humour, sa tendresse, et bien sûr ses performances. Mais de celles-ci, je ne peux rien connaître avant de les avoir expérimentées. C’est ce qui fait le charme de ma vie. Je la mène ainsi au gré de ma fantaisie.
Quelques jours après, mon amie Émeline épousa donc son marquis. Dieu ! Qu’elle était jolie dans sa robe immaculée au bras de son époux qui n’était pas mal de sa personne, mais certainement bien loti du côté de la bourse. Sans doute l’était-il aussi du côté des bourses car je m’imagine mal ma chère Émeline se contenter d’un petit morceau de muscle pour satisfaire sa soif de plaisir.
Elle avait eu la gentillesse de me convier à ses épousailles, et je ne manquai point de lui prouver mon amitié. La cérémonie fut grandiose, pleine de lumières et de fleurs. Les tables disposées dans le grand jardin du château étaient couvertes de mets qui vous faisaient baver de gourmandise. Je me trouvai assise à côté d’un gentilhomme à la perruque ...
... poivre et sel. Il fut d’une courtoisie telle que je me laissai charmer par son élégance à mon égard. Il parlait bien de ses voyages dans les pays lointains et me faisait une description détaillée des endroits où il avait vécu.
Nous devisions simplement entre les gorgées de vin rouge ou blanc, ce qui finit par nous émoustiller un peu. Peu à peu, une certaine euphorie me saisit le corps. Mes mains se mirent à voyager sous la table et je soulevai doucement mes jupons, permettant ainsi à mes doigts de sentir la douceur de ma peau et de la toison qui protégeait ma fente déjà un peu humide. Ils rencontrèrent soudain ceux de mon voisin, partis eux aussi en découverte de mes trésors cachés. Il me prit les doigts délicatement et commença à les masser d’abord doucement, puis un peu plus fort. Ma pudeur soudain reprit le dessus – du moins, je le lui laissai supposer – car je retirai ma main et le regardai d’un air que je voulais offensé. Il se confondit en excuses, mais à son regard je compris qu’il n’en était rien, ce qui me fit sourire. Sans doute se méprit-il sur mes sentiments car il posa sa main sur mon épaule nue. Je frissonnai. Il le sentit, se pencha vers moi et fit le geste de vouloir poser sa bouche sur la mienne. Je reculai doucement. Je ne me sentais pas prête à subir ses assauts.
— Vous vous méprenez, Monsieur. Certes, le vin me rend gaie, mais je n’ai pas l’intention d’aller beaucoup plus avant avec vous.
— J’en suis marri, me répondit-il en reprenant ma main. Je suis ...