1. Après un an de veuvage


    Datte: 01/12/2019, Catégories: fh, hagé, grossexe, fête, noculotte, Masturbation Oral pénétratio, historique, Humour occasion, bourge, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent :«Je m’appelle Amélie »Une jeune aristocrate libertine, Amélie de la Baysière de la Founette, épouse Amaury, le rejeton d’une famille d’industriels fortunés. Elle l’a choisi, parmi six prétendants, en fonction de la taille de son mandrin, mais elle se retrouve veuve à vingt-cinq ans, Amaury ayant été tué au cours d’une guerre contre les Prussiens.
    
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    Dire que je me suis enfermée sur moi-même pour digérer ma peine est un euphémisme. Pendant plus d’une longue année, je refusai de quitter ma chambre dans laquelle mon corps avait connu tant de secousses. Je ressassais mes souvenirs de baise et souvent j’appelais Émeline, toujours célibataire, pour assouvir mes désirs. Jusqu’au jour où mon amie m’annonça ses futures épousailles. J’en fus émue au point que cette nuit-là nous allâmes toutes deux jusqu’au bout de nos envies. Comme si c’était la dernière fois. Je ne lui en voulus point qu’elle m’eût préféré un jeune marquis plein d’écus et je la félicitai, me promettant en mon for intérieur de goûter avec elle aux délices d’une rencontre à trois.
    
    Chère Émeline, combien tu m’as appris de choses, toutes plus passionnantes les unes que les autres. Mais ne brûlons pas les étapes.
    
    Je m’étais mariée avec Amaury par défi plus que par passion amoureuse, mais j’avais appris à l’aimer. Sa mort m’avait laissée sur ma faim d’amour et de sexe, et lorsque mon chagrin fut adouci, je me dis qu’il n’était pas décent pour une femme comme moi ...
    ... de rester sans faire l’amour au moins une fois par semaine. Je ne pouvais plus me contenter de me faire jouir toute seule depuis qu’Émeline avait convolé avec son marquis. Je me mis en quête d’un homme qui serait à la fois viril, bien membré, riche et expert dans l’art subtil de faire jouir une femme telle que moi.
    
    Vous me connaissez un peu mieux depuis le début de ce récit ; il ne sert à rien de me faire des promesses. Ce que je veux – et surtout ce que veulent mon pertuis et mon petit bouton rose – c’est un membre solide et persévérant, et une bouche douce mais ferme avec une langue assez rugueuse pour satisfaire mes besoins de tendresse et de plaisir. J’aime quand on roule mon clitoris entre les lèvres et que des dents le mordillent doucement pour le faire sortir de son étui. J’aime sentir au fond de mon ventre un braquemart bien long, bien dur, et surtout d’une résistance à toute épreuve, capable de me faire monter plus d’une fois en suivant au septième ciel.
    
    Vous savez bien que, sans être ce qu’on appelle vulgairement une nymphomane, j’aime être câlinée, cajolée, dorlotée, et surtout bien baisée. Tous les prétextes sont bons pour me coucher sur le dos et me faire mettre un épieu solide. Alors je décidai un jour de me faire une réputation d’amoureuse, mais pas à n’importe quel prix : je ne suis pas une catin de rue ni une demoiselle de maison de luxe. D’ailleurs, même si, sous la monarchie, mes ancêtres se vantaient de fréquenter les salons où l’on ne fait pas que ...
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