Rien ne vaut la campagne ...
Datte: 01/12/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Georges, Source: Hds
... avec le recul je devine qu’il se protégeait de lui-même
- Pourquoi dit tu ça ?
- Parce que lorsque j’ai grandi, vers dix-sept ans, j’y suis revenue avec plus d’assurance, l’ouvrier n’était pas là mais François m’a accueillie à bras ouverts, toujours la même salopette et le même béret crasseux, en riant il m’a demandé si je voulais faire à nouveau des galipettes
- Et ?
- J’ai dit : chiche ? et j’en ai fait une belle devant lui ! il a failli s’étouffer car je ne portais plus ces immondes ‘petits bateaux’ en coton mais des charmantes culottes à la mode qui mettais bien le bombé de ma chatoune en valeur
- Putain je mouille trop !
- Fait voir ? houa, touche la mienne c’est pareil !
- Muuuuuummmmm, tu arrêtes le récit un moment ?
- Il vaut mieux, la suite est torride, caresse-moi ….
- Met moi deux doigts … hhhaaaaaaaaaooooouuuuuiiii
Nous nous somment faites jouir mutuellement, apaisée Cloé respire un grand coup et reprend d’une voix rendue rauque par le plaisir
- Je disais donc que François était ravi d’avoir revu mon entrejambe, mes seins ne le laissait pas indifférent non plus, très gentiment il m’a fait visiter son domaine et son matériel, j’étais en admiration devant ces machine énormes dont les roues étaient plus hautes que moi, François m’a proposé de monter dans la cabine de l’un d’eux, mais les marches étaient trop espacées alors il m’a carrément mis la main aux fesses pour me propulser là-haut
- Et les doigts ont vite trouvé le chemin ...
... du bonheur ?
- Exactement ! il a pris tout son temps pour palper mes lèvres charnues par-dessus ma culotte, j’avais peur qu’il ne cherche à me pénétrer de ses gros doigts mais il s’est contenté de mater sous ma robe légère, - Accroche toi au volant poussinette je grimpe derrière toi -
- Houlàlà …
- La cabine me paraissait immense, devant moi un grand parebrise et une multitude de manettes qui se terminaient par une boule noire de différente grosseur, le temps qu’il s’installe sur le siège confortable j’en avais d’ailleurs une placée au bon endroit, mon clitoris était vachement sollicité, je voulais rester à cet endroit, François s’est tout de suite douté que je me faisais plaisir – Vas-y poussinette frotte toi bien le bouton, tu devrais relever ta robe pour être plus en contact …
- Mince, je recommence à mouiller …
- Moi aussi … François s’est lui-même chargé de relever mon vêtement ainsi il pouvait mater mes fesses et les caresser tandis que je me frottais de plus belle sur cette boule, soudain ce levier s’est affaissé bousculant mon fond de slip …
- Et ? dis vite !!
- En remontant mes lèvres se sont ouvertes permettant à la boule de rentrer direct dans mon vagin
- Tu t’es empalée sur la boule ?
- Oui mais … j’étais vierge …le fermier m’a demandé pourquoi j’avais poussé un cri de douleur et s’est aperçu qu’il avait du sang sur les doigts, je lui ai avoué la cause, il était très malheureux pour moi et m’a fait assoir sur ses genoux pour me consoler, ...