1. Rien ne vaut la campagne ...


    Datte: 01/12/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Georges, Source: Hds

    - C’est dommage que l’on ne se soit pas connues plus tôt Amandine
    
    - Pas facile Cloé étant donné que nous venons de faire connaissance en première année de fac
    
    - De plus tu es de la ville et moi de la campagne
    
    - J’ai hâte de revenir en fin de semaine chez moi
    
    - Tu y a un petit copain ?
    
    - Non… enfin oui mais ….
    
    - Tes reste évasive lorsque j’aborde ce sujet
    
    - Tu ne peux pas comprendre, tu serais peut-être choquée …
    
    - J’aimerais beaucoup connaitre ce milieu
    
    - Et si tu venais en vacance chez mes parents la semaine prochaine ?
    
    - D’accord à condition que tu m’en dises plus sur ce ‘sujet tabou ‘
    
    - Je veux bien Cloé après tout je peux te faire confiance
    
    - Nous prenons nos douches ensembles, voire plus … nous n’avons plus rien à nous cacher
    
    - Arrête j’ai encore des frissons !
    
    - Au fait ? tu l’as perdu à quel âge ?
    
    - C’est là que c’est délicat …et toi ? c’est très récent et je n’en garde pas un bon souvenir, un de ces jours il faudra que je connaisse une autre expérience pour effacer çà de ma mémoire
    
    - Je pourrais peut être t’aider …
    
    - Comment ??????
    
    - Vient près de moi, je vais te faire une confidence que personne ne connait
    
    - Je sais garder un secret Amandine
    
    - Donne-moi la main, dès que j’ai eu l’âge d’aller chercher le lait a la ferme voisine mes parents m’ont laissé y aller seule, le fermier était sympas, il s’appelle François, je le vois avec sa salopette bleue et son béret basque, son gros pif et ses mains larges comme ...
    ... des battoirs, j’avais le droit de faire des cabrioles sur les bottes de paille sous le hangar
    
    - Ça devait être marrant
    
    - Oui … jusqu’au jour où je me suis rendue compte que leur ouvrier matait mon fond de culotte …
    
    - Zut quel âge avait-il ?
    
    - Lui ? la vingtaine, mais moi bien moins mais tout de même je savais pourquoi il faisait ça … et ça m’a donné une idée, tu veux voir ? hé bien tu vas être servi
    
    - Faire exprès de monter ta culotte ? tu prenais des risques non ?
    
    - J’en étais consciente mais ça me mettait les sens en ébullitions, surtout que je venais juste d’avoir mes règles et je me sentais femme
    
    - Je vois ce que tu veux dire, j’en ai les mains moites... et pas que les mains !
    
    - Moi aussi ! ont l’ôte ?
    
    - Pourquoi pas sinon nous allons la tacher
    
    - Donc je n’ai pas arrêté mes cabrioles, je poussais même le vice à baisser légèrement ma culotte afin qu’elle baille
    
    - Une vraie chienne ! le pauvre garçon il devait …
    
    - Bander ? je le confirme, sans se cacher il astiquait une longue trique rose terminée par un gros champignon cramoisi, il a voulu essayer de me toucher, c’était le début de mes premières mouilles
    
    - Mais pas la dernière
    
    - Comme tu dis ! je n’ose penser comment ça se serait terminé si François, son patron n’était arrivé
    
    - Zut dommage non ?
    
    - Peut-être, je ne sais pas, François aussi avait un drôle d’air, il m’a tapé sur les fesses mais trop gentiment pour que ce soit une correction, puis il m’a interdit de revenir seule, ...
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