1. Comment j'ai pu sauter Surloca Zillon (2)


    Datte: 30/11/2019, Catégories: Divers, Auteur: megalosex, Source: Xstory

    ... déjà ouvert par sa queue, accueille le vibro sans trop de difficultés. Du coup ça permet à Rocky de pouvoir la ramoner plus fort, Manu se contentant de maintenir le vibro, au maximum de sa vitesse dans l’anus de la demoiselle.
    
    Totalement empalée, le corps secoué par les puissants coups de bite du lieutenant, Surloca gémit, couine, sans retenue. Ses trous sont littéralement ravagés :
    
    « Putain ! Chienne ! Tu vas jouir, ma salope ! Mais tu vas jouir !! » Le lieutenant ne peut plus se retenir ; il largue son foutre dans le vagin de Surloca qui maintenant crie comme une possédée. Excédé de ne pas parvenir à la faire jouir, il la repose sur le sol et aussi sec, il lui refourre un vibro dans son vagin tandis que Manu continue de lui exciter le cul. Puis, cette fois, il lui saisit le clitoris avec le bout de ses doigts et se met à le triturer, le masturber. De son côté, Manu lui titille les tétons.
    
    L’excitation de la demoiselle reprend de plus belle, puis va crescendo, tandis que les deux hommes s’acharnent sur ses orifices, son clitoris et ses seins :
    
    « Salope ! Tu vas jouir ! Jouis donc, garce ! » elle gémit, elle glousse, puis elle émet une sorte de plainte rauque. On voit son ventre se contracter et la cyprine gicler, avant de couler sur ses cuisses. Elle a enfin joui ! Mais aussitôt elle bascule en arrière. Le sergent n’a pas le temps de la retenir et elle glisse sur le tapis.
    
    Surloca est étalée, pantelante, sur le tapis du salon, dans la lumière, les bras en ...
    ... croix.
    
    « Rocky, on a peut-être été un peu fort, non ? » Le sergent a l’air inquiet.
    
    « En tout cas, ta Surloca, elle a son compte ! » répond le lieutenant, en se penchant sur elle. Puis donnant une tape dans le dos de Garcia :
    
    « Veinard ! Tu vas pouvoir dormir tranquille un bon moment ! »
    
    « Faudrait quand même la coucher... elle ne va pas passer le restant de la nuit, ici ! » suggère le sergent.
    
    A eux deux, ils aident Surloca à se relever, péniblement et la traînent presque jusqu’au lit. Une fois couchée, elle semble s’apaiser avant de s’endormir.
    
    « Waouh ! Dix heures ! J’me tire, moi, je prends mon service à sept heures demain matin ! »
    
    Le lieutenant achève de se rhabiller et part aussitôt.
    
    Le sergent revêt son pyjama avant de se glisser sous la couette. Avant de s’endormir, il se remémore les évènements de cette journée extraordinaire. Puis tente de trouver le sommeil, sans y parvenir, tant il se sent excité :
    
    « Quelle aventure ! Un truc pareil, ça ne s’oublie pas ! » pense-t-il.
    
    « Il faudrait que je partage ce que j’ai vécu, pour prouver que je n’ai pas rêvé, avec des personnes discrètes, dignes de confiance quoi ! Pas le caporal Reyes, en tout cas ! Ce bavard impénitent. Il ne faudrait pas deux heures pour que tout le commissariat soit au courant !
    
    En fait, le sergent a deux noms en tête : Teresa March, la secrétaire administrative, seule femme en poste, et le capitaine Eddy.
    
    « Ah ! Teresa ! Elle est là depuis six mois. Une jolie brune bien ...
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