1. Reprise au bureau


    Datte: 30/11/2019, Catégories: fh, amour, pénétratio, fsodo, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... sous la pluie. Patrice conduit. Elle, assise à côté de lui, a pris ses aises. Sa jupe est remontée sur ses cuisses. Position involontaire ou sondage afin de tester son pouvoir de séduction ? Patrice ne sait pas trop. Mais c’est pour lui une invitation à tenter sa chance. La main quitte le levier de vitesse et vient se poser sur le genou, y reste un instant, remonte lentement sous la robe. Il tourne la tête et voit le sourire narquois de sa passagère : c’est un accord. Roulant sur une départementale, il tourne dans le premier chemin forestier qui se présente.
    
    — Oh non, pas ici, pas maintenant, proteste-t-elle, on n’a pas le temps !
    — Depuis que je t’ai revue, j’ai envie de toi. Alors tu penses si je vais me priver. Ne me dis pas que tu n’es pas d’accord.
    — Tu es fou… Nous ne pouvons pas, dans la voiture…
    — Seulement un hors-d’œuvre alors, juste une… mise en bouche.
    
    Une clairière, sur le côté, semble les inviter. Pas de danger qu’on les dérange par un temps pareil. Il fait basculer le siège, allonge Sophie. Elle ne dit rien, heureuse, au fond, de se voir désirée.
    
    Le corsage ne résiste guère. Elle l’arrête, préférant préserver son vêtement, et se dépouille. Il en profite pour défaire le soutien-gorge. Les seins sont bien pleins, un peu lourds et tombants, mais tellement attirants ! Il en prend un en main et le masse doucement. De la bouche, il agace l’extrémité de l’autre, le mordille doucement. Ce dernier réagit et se dresse, petite truffe grumeleuse. Serré entre ...
    ... les dents, la langue le titille, puis la morsure devient un plus vive. Quittant le sein, la main part entre les cuisses. La jupe gêne son avancée. Sa paume se plaque sur le tissu de la culotte, frictionne le tissu. Puis glisse les doigts par côté, et parvient à la forêt touffue.
    
    Sophie a fermé les yeux, détendue elle se laisse caresser. Son souffle s’accélère un peu, elle entrouvre les lèvres. Patrice a atteint la fente humide, glisse son pouce dans le tunnel et, du majeur, taquine le bouton. Le raclement de l’ongle le fait sortir de son écrin. Puis pincement entre deux doigts. Une plainte s’échappe, que la bouche de Patrice vient étouffer. C’est une épreuve de langues qui plairait bien aux collégiens. Ils se retrouvent enfin. Le travail de la main, en bas, déclenche l’orage, étouffé par le baiser.
    
    Patrice se relève en souriant, dégageant sa main. Sophie torse nu, la jupe remontée donne l’image de la femme comblée. Soudain, elle se rend compte de sa tenue, met ses mains sur sa poitrine.
    
    — Tu es belle comme ça, si nous pouvions, je continuerais.
    — Et toi ? Tu n’as rien eu…
    — Ce n’est qu’un hors-d’œuvre. Nous remettrons le couvert sous peu.
    — Merci Patrice, tu me rassures, j’avais peur de ne plus plaire.
    
    Leur collaboration est de courte durée, Sophie retrouve ses clients. Cet intermède l’a rassurée. Elle se promet de remercier son ami dès que l’occasion s’en présentera.
    
    Patrice reprend les tournées, ce qui ne lui donne pas vraiment l’occasion de travailler avec ...
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