Reprise au bureau
Datte: 30/11/2019,
Catégories:
fh,
amour,
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... son compagnon.
— J’en suis heureuse, j’avais peur que tu t’attaches à moi. Au moins, je suis tranquille. Parce que j’aime mon mari et mes enfants, et je ne veux pas les perdre. Mais de temps en temps…
Ils arrivent juste pour la fin de la cérémonie officielle. Audrey, qui le cherchait des yeux l’aperçoit enfin, mais avec une autre femme. Tous deux se dirigent vers elle
— Audrey, je te présente Sophie, une collègue qui a repris le travail et qui était en étude avec moi. Sophie, voici Audrey, une très, très chère amie, avec qui j’ai de très bons souvenirs de vacances.
Les deux femmes se sourient amicalement. Audrey est heureuse, elle craignait une concurrente. Mais la façon dont il l’a présentée la rassure. Et puis, c’est une vieille. Sophie, de son côté, admire l’aplomb de son amant et lui adresse une moue admirative qu’Audrey prend comme un hommage à sa beauté.
Ils sont descendus tous trois par l’ascenseur déjà plein, coincés dans un coin. Durant la descente des quatre étages, Patrice d’une main serre la taille de Audrey, de l’autre, il remonte la jupe de Sophie et glisse son doigt dans le trou du cul encore humide.
À la sortie, ils se séparent : tous trois s’embrassent… Des baisers qui n’ont pas la même signification pour chacun…
Ce week-end, Patrice ne descend pas chez les siens dans le Midi. La mère d’Audrey est absente. Ils ont donc deux jours pour se retrouver. La semaine prochaine, elle ira chez son père, professeur à Mende qui lui a trouvé une ...
... place de surveillante dans un lycée. Ce sera à nouveau la séparation.
Patrice habite un petit "deux pièces". C’est merveilleux à Paris, mais ce n’est pas son idéal. Son rêve : redescendre travailler dans le Midi. Audrey, pour le week-end, a prévu quelques affaires dans un sac, "ton baise-en-ville" lui fait-il remarquer.
Dans l’ascenseur de l’immeuble, il la serre dans ses bras et c’est elle qui tend ses lèvres, prenant l’initiative du baiser. L’ouverture des portes les surprend. Un couple d’âge mûr sur le palier toussote pour les aviser qu’ils sont arrivés. Ils sortent rapidement sous le sourire amusé des voisins.
Entrés dans l’appartement, il n’a pas le temps de verrouiller que déjà elle se jette sur lui, impatiente de le retrouver. Lui, un peu calmé par l’étreinte avec Sophie la tempère :
— Doucement ma chérie, nous avons tout le week-end. Laisse-moi d’abord me changer.
— Il y a tellement longtemps que j’attends cet instant. Tu ne peux pas savoir comme je languissais de toi. Et je pensais que tu étais peut-être en train de baiser avec cette vieille femme. Heureusement non, et après tout, je la trouve plutôt sympathique.
Patrice sourit intérieurement en l’entendant parler ainsi de Sophie, si elle savait ! Pour lui, ce n’est qu’un épisode d’une amitié sensuelle.
— Mais ce n’est qu’une collègue, c’est elle qui m’a appris le boulot et à sa reprise, on m’a chargé de la remettre au courant, c’est tout. Mais après tout, elle n’est pas si vieille que ça, et puis ...