1. Du cœur à l ouvra ge


    Datte: 29/11/2019, Catégories: Anal Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... apprenti. On me mit de force une enveloppe dans la poche.
    
    Il partit à son boulot peu après me laissant seul. J'étais désappointé. J'éprouvais un remords d'avoir accepté le deal. Je n’aimais pas saboter mon boulot. Je mis un temps à m'apercevoir que madame demeurait là-haut et dont j'entendais à travers le plafond le pas menu et sonore de l'escarpin. Elle avait du s'apercevoir par la fenêtre que j'étais venu seul et qu'on avait évincé son amant chéri. Elle devait être furieuse. J'imaginais que durant toute la nuit des noms d'oiseau avaient volé entre elle et son mari. Il est possible qu’elle m'en voulait aussi. Elle pensait que je me réjouissais de son échec.
    
    Elle ignorait qu'entre Karl et moi il n'y avait ni animosité ni rivalité. Je prenais pour moi ses bonnes fortunes sexuelles, tel un père qui admire les exploits d'un fils. C'eût été long et vain d'expliquer cela à la dame. Bref il m'apparût qu'elle bouderait toute la matinée et que je ne la reverrais plus. Aussi ne fus-je pas peu étonné de la voir descendre. Elle était affublée de la minijupe de la veille. Elle était outrageusement maquillée. Elle tenait une clope à la main. Ses yeux brillaient. Je compris plus tard à son haleine qu’elle avait bu. Manifestement elle voulait m'entretenir de quelque chose.
    
    Elle s'appuyait contre un poteau me faisant signe d'approcher. Elle tint des propos confus : « En gros, elle était désolée du spectacle qu'elle nous avait offert hier elle et son mari. Elle était mortifiée ...
    ... qu'on en accusât le pauvre Karl lequel avait été évincé ce matin. Elle m'assurât d'un regard cinglant que son mari était un pauvre type jaloux. Elle finit par me dire qu’elle voulait que je transmis de sa part, un mot à Karl. Elle me tendit une enveloppe. Elle me vit hésiter. Elle sourit alors et me dit : « Vous me donnez une idée à présent. Nous allons donner une trop bonne leçon à mon mari ».
    
    Je ne compris pas sur le coup. En effet dans un premier temps, elle me laissa là et je la vis entrer dans la cuisine. Au tintement des verres, je compris qu'elle s'en fourrait une autre lampée. Je dis par-devers moi : « Pauvre femme ! » Je sursautais. Elle était à m'observer tandis que je me lavais déjà les mains au savon. J’avais en effet terminé et commencé à remballer les outils. J'entendis vaguement : « Alors t'es partant ? » Je sentis mes yeux s'écarquiller. Je n'en croyais pas yeux ni mes oreilles. Elle me parlait de la baiser et de faire des galipettes. Elle remontait déjà sa courte jupe.
    
    Je lui voyais ostensiblement les jarretelles et la culotte minimale de la veille qui trahissait toute sa chatte. Elle s'éloigna jusqu'au divan pour s'y allonger sur le dos et écarter les cuisses. Elle s'offrait. Il était évident que j'en avais autant envie qu'elle. Elle pour se venger, moi pour me dédommager de trop de frustrations anciennes et pour cocufier aussi notre autre imbécile. Je ne pus m'empêcher de songer qu'outre une prime en monnaie sonnante et trébuchante, il m'allait ...